1. Ah ! Les mamans...


    Datte: 13/05/2024, Catégories: fh, extracon, vacances, plage, Oral pénétratio, fsodo, diffage, lieuloisi, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... prénom, m’attribue ma chambre au premier étage avec salle de bain. Les propriétaires se sont réservé le second étage, d’où la vue sur la mer est meilleure. La bonne, une petite dame du cru tout en rondeurs, rentre chez elle chaque soir après le dîner. Toute l’année, elle et son mari entretiennent la villa et le parc, la contrainte imposée par la présence des patrons quelques semaines par an n’étant pas excessive. Je serai donc seul dans cette maison, la nuit, avec Kimberley et ses filles, perspective qui ouvre plein de possibilités mais… Je passe également du statut de relation de plage à celui d’employé de maison, de petit personnel en somme. Et ça, ça n’est pas forcément à mon avantage.
    
    Dorade au four avec émincé de poireaux, fromages, tarte aux pommes, un dîner exquis nous est servi sur la terrasse par Irma, la bonne.
    
    — Voyez, me dit mon hôtesse, c’est tout simple et très bon. Et le smoking n’est pas de rigueur.
    — Tout simple, oui, meilleur cependant qu’une tomate à la croque au sel, ce qui aurait été mon lot si j’étais resté sous ma tente…
    — Évidemment, mais ça reste familial et sans prétention.
    
    Les petites ont le droit de quitter la table et d’aller jouer dans le parc, leurs rires nous parviennent de temps en temps, tandis que le soleil se couche sur la mer. Douceur idyllique, présence idyllique. Nous sirotons un délicieux café « de chaussette », puis Irma appelle les filles pour la douche et se retire chez elle. Kimberley va dire bonne nuit à ses enfants ...
    ... puis vient me rejoindre, pieds nus, simplement vêtue d’une sorte de paréo chamarré noué au-dessus des seins. À chaque pas, l’étoffe légère s’entrouvre et laisse passer ses cuisses superbes. Je lui demande l’autorisation de fumer, elle acquiesce et me demande aussi une cigarette. Elle rapproche deux transats autour d’un cendrier sur pied et nous nous intoxiquons côte à côte, nous laissant envelopper doucement par la nuit. Je ferme les paupières, non par sommeil mais par bien-être, pour mieux goûter l’instant, le semblant de fraîcheur qui monte de la mer et le son lointain et régulier du ressac. Tendant l’oreille pour mieux le capter, je perçois un clapotis léger beaucoup plus proche et moins régulier. Ouvrant les yeux bien habitués à la faible clarté venant des réverbères, je devine plus que ne vois ma voisine de transat, genoux levés et pieds posés sur le cadre en bois du siège, paréo détaché, une main glissée entre ses cuisses et l’autre pelotant affectueusement un sein. Comme si elle avait senti mon regard, elle déclare :
    
    — J’adore cet instant exquis où le jour bascule dans la nuit. Chaque fois que je le peux, j’en profite pour me masturber. Vous permettez ?
    
    Je referme prestement les paupières sans répondre, cramoisi dans le noir, époustouflé par l’audace de cette femme superbe et congestionné d’excitation. Je suis l’accélération de son souffle, ses quelques gémissements étouffés, puis enfin les craquements du siège indiquant les soubresauts de son plaisir.
    
    — Et mon ...
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