1. Ah ! Les mamans...


    Datte: 13/05/2024, Catégories: fh, extracon, vacances, plage, Oral pénétratio, fsodo, diffage, lieuloisi, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... My god, quelle horreur…
    — Je me disais bien que vous aviez un léger accent, malgré votre français impeccable. Vous êtes anglaise ?
    — Grrrr ! No ! South Africa. J’étais traductrice et interprète. Et celui qui est devenu mon mari est venu faire des affaires. Il avait besoin d’une interprète et il m’a ramenée dans ses bagages. Depuis, il continue à faire des affaires, et moi je suis ici avec nos filles, toute seule, soupire-t-elle.
    — Pourtant il y a de bons côtés, vous paraissez aisée ?
    — Oh oui, très. J’ai tout ce que je désire, et même plus. Coiffeur, esthéticienne, manucure, pédicure, cours de gym et de yoga, bijoux, voitures, hôtel particulier en Vallée de Chevreuse avec piscine en sous-sol, et cette maison, là, la troisième, une des plus belles de la côte parce que l’endroit me plaît. Mais j’ai l’ennui en prime… Et vous, pourquoi êtes-vous là seul ? Vous attendez l’arrivée d’une petite amie ?
    — Non, pas du tout. Je suis venu ici enfant en colonie de vacances, comme ce groupe là-bas à droite. Je me sens bien ici. Alors dès que j’ai pu m’acheter une voiture et que j’ai cherché un lieu de vacances, c’est ici que je suis venu tout naturellement. Mais c’est vrai, ce n’est pas très drôle tout seul. Les petits bonheurs ne le sont vraiment que quand on les partage.
    — Exact ! Alors je vais vous dire : vous allez prendre vos petites affaires et vous allez venir vous installer chez nous. Comme précepteur de ces demoiselles.
    — Oh non, je n’oserais jamais…
    — Réfléchissez : une ...
    ... chambre avec un vrai lit, tous vos repas, la bonne est excellente cuisinière, et je vous paie 500 Francs par semaine. En toute simplicité, un peu de français et de maths le matin, un peu de partage des petits bonheurs pendant les repas, et le reste du temps vous êtes libre, de vos après-midi et de vos soirées bien entendu.
    — C’est très tentant, évidemment, mais… Je ne voudrais pas déranger. Et puis, je ne suis pas de votre monde. Je n’ai que deux jeans, deux shorts et quelques T-shirts…
    — Ha ha ha ! Mais nous pourrons nous mettre en jeans ou en shorts si ça peut vous faire plaisir.
    
    Pour mener cette discussion, elle s’était redressée sur les coudes, et mon regard ne sait plus où se poser : sur cette fabuleuse poitrine déployée ou sur ces fesses toujours dénudées que je venais de peloter.
    
    — Allez, affaire conclue. Comme ça vous pourrez me regarder autant que vous le voudrez. Et croyez bien que j’en tire un immense plaisir : j’ai de nouveau l’impression d’exister.
    — Bon, d’accord, mais à une condition : que vous me passiez aussi un peu de crème dans le dos.
    
    Elle s’esclaffe à nouveau, me prend le flacon des mains et se met immédiatement à m’oindre les omoplates sans complexe, poitrine nue et fesses à peine cachées.
    
    La villa est impressionnante, construction des années 30 en pierres taillées et opus, nombreuses boiseries apparentes, autant que le cabriolet Chevrolet Malibu V8 qui trône dans le parc. Ma deux-chevaux paraît soudain bien minable. Kimberley, c’est son ...
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