Les camping-cars ne sont pas faits pour les grosses
Datte: 10/05/2024,
Catégories:
fh,
Inceste / Tabou
fête,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe
... arrête les hostilités. Je finis de me déshabiller à mon tour et m’allonge à ses côtés. Nous nous caressons tranquillement en nous regardant avec amour.
— Eh bien dis donc, cousin, quelle histoire ! C’était vraiment très bon.
— Pour moi aussi, c’était très bon.
— Je l’ai bien vu et je vois que tu es encore en forme pour le second round, dit-elle en masturbant légèrement ma queue.
— En revanche, je n’ai pas de capote.
— Moi non plus, avoue-t-elle à son tour.
— Il y a peut-être un distributeur quelque part dans le village.
— Je ne vois pas trop où, c’est vraiment tout petit ici. Mais laisse tomber, en ce qui me concerne je n’ai rien fait de significatif depuis mon divorce… et même déjà avant.
Je suis un peu surpris par cet aveu :
— Moi qui pensais que tu étais une femme libre et épanouie.
— Tu peux le dire, j’ai surtout une grande gueule. Mais dans la pratique, pas grand-chose. Récemment je me suis inscrite sur un site de rencontres. Mais rien de bien folichon, la plupart des hommes veulent conclure tout de suite et ne sont pas vraiment clairs, sans compter ceux qui font marche arrière au dernier moment quand voient arriver la grosse vache. Et puis je n’ai pas envie de faire venir n’importe qui chez moi. Une fois j’ai quand même branlé un type dans sa voiture à la sortie d’un bar où nous avions bu un verre. Lui aussi m’a masturbée vite fait et grossièrement, il m’a fait mal ce con. Et comme je n’ai pas accepté de le sucer, il s'est barré. Sinon rien du tout, le ...
... vide total, j’ai d’autres propositions mais n’ai pas encore accepté.
— Moi aussi je suis clean, j’ai fait un test il y a quelques mois et n’ai rencontré personne depuis.
— Et c’était qui l’heureuse élue de cette dernière fois ?
— Bah, nous sommes bénévoles dans la même association. Ça s’est passé lors d’une fête un peu trop arrosée. Elle s’ennuyait et moi aussi.
— Je vois qu’à chaque fois que monsieur fait la fête il a envie de tremper son biscuit, éclate-t-elle alors de rire. Allez, embrasse-moi, j’ai envie de douceur. Fais-moi l’amour comme si j’étais belle.
— Mais tu es belle Marjorie.
— Sacré flatteur, tous les coups sont permis pour tremper ton biscuit !
J’aime cette femme. Je la couvre d’un océan de tendresse pour qu’il lui passe l’envie de faire une nouvelle rencontre. Les baisers succèdent aux caresses et les caresses aux baisers. Un puits sans fond sévit entre ses cuisses et un pic pointe entre les miennes. C’est naturellement qu’ils s’emboitent l’un dans l’autre, tout d’abord très sensuellement mais ensuite avec de plus en plus de fièvre jusqu’au moment où, sentant les spasmes de son vagin je libère ma semence en elle.
Nous restons un long moment enlacés l’un à l’autre. Je me suis mis sur le côté pour ne pas l’écraser et dévore ses lèvres avec passion.
— On recommence quand tu veux, mon Paul, c’était vraiment parfait.
**********
Nous nous rhabillons presque à contrecœur pour retourner à la fiesta. Plus de deux heures que nous sommes partis, notre ...