1. Les camping-cars ne sont pas faits pour les grosses


    Datte: 10/05/2024, Catégories: fh, Inceste / Tabou fête, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe

    Marjorie a aujourd’hui la cinquantaine, et votre serviteur à peine un peu moins. C’est une cousine germaine du côté de ma mère.
    
    L’autre jour, grande réunion de famille, l’occasion de revoir des personnes que je n’avais pas vues depuis bien longtemps. Marjorie est désormais une femme ventrue imposante, avec un rire bien gras, plutôt gouailleuse, limite vulgaire. Elle a un bagout du tonnerre et une voix qui porte très fort. J’ai eu du mal à reconnaître cette cousine que je n’ai pas vue depuis trente ans. A l’époque, elle avait déjà de gros lolos, et ses formes plus que généreuses avaient même un instant peuplé mes rêves d’adolescent. Mais elle s’est empâtée depuis, le temps amène son lot de dégradations, son visage ressemble un peu à celui d’une vieille poivrote.
    
    Marjorie raconte à la cantonade qu’elle a divorcé il y a de cela quelques mois. Elle est quelque peu éméchée et s’exprime sans pudeur. Elle braille plutôt qu’elle ne parle, il n’y en a vraiment que pour elle à notre tablée, une douzaine de personnes qui se connaissent à peine, positionnés probablement à cette table parce qu’ils n’ont pas d’affinités particulières avec les organisateurs. Je ne sais d’ailleurs pas trop pourquoi je suis venu à cette fête, j’aurais dû décliner cette invitation.
    
    — Et toi, mon cousin, que deviens-tu ?
    
    C’est à moi que la grosse femme s’adresse. Moi aussi je suis divorcé, depuis pas mal de temps déjà. Je n’ai pas grand-chose à dire sur ce sujet, sinon le fait que le divorce est ...
    ... une bénédiction et que ne pas se marier devrait même être une obligation.
    
    — Et comment vont les amours ? Tu les trouves à ton boulot ? Sur Internet peut-être, dans les sites de rencontre ?
    
    Elle me lance une œillade. Je dois rêver mais j’ai l’impression qu’elle me fait du gringue. Il faut dire qu’elle est vaguement pompette. En tout état de cause, ça ne la regarde pas vraiment, et encore moins les autres personnes qui sont à notre table.
    
    — Tu n’invites pas ta cousine à danser ? propose-t-elle dès que le DJ lance les réjouissances.
    
    Danser ce n’est pas trop mon truc. Mais nous voilà partis sur la grande estrade qui fait office de piste de danse. Nous évoluons avec d’autres couples, tous plus ou moins de notre famille, mais aussi tous plus ou moins des inconnus pour moi, tant il est vrai que je ne fréquente pas ma famille.
    
    Une fois en tête-à-tête, Marjorie ne se gêne plus pour me draguer. Elle me trouve fort sympathique et très à son goût, me confie-t-elle. Elle se serre contre moi et plaque son opulente poitrine contre mes pectoraux. Elle me parle à l’oreille avec sa voix nasillarde :
    
    — Je me rappelle à quel point tu pouvais avoir les yeux dans mon corsage à l’époque. Tu te souviens ? Mais tu étais tellement timide avec les filles… Et moi qui attendais que tu te décides à me faire la cour. Tu devais encore être puceau.
    — Oui, tu as raison. Je n’étais pas très en avance pour mon âge.
    — C’est le moins qu’on puisse dire, tu étais complètement coincé. En plus, ...
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