Les camping-cars ne sont pas faits pour les grosses
Datte: 10/05/2024,
Catégories:
fh,
Inceste / Tabou
fête,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe
... vient, je vais cracher…
Au cas où elle n’aurait pas envie de me prendre en bouche… Mais au contraire, elle redouble d’intensité et je sens sa salive dégouliner le long de mes couilles. Cette fois je n’en peux plus, j’éjacule dans sa bouche et elle maitrise les jets avec sa langue pour ne pas étouffer. Comme un malotru je me vide entièrement en elle et elle avale tout jusqu’à la dernière goutte, prenant le luxe de garder ma queue en bouche un long moment après la jouissance.
Lorsqu’elle la relâche enfin :
— Eh bien, dis donc, mon Paul, comme dit l’autre, tu avais les couilles bien pleines, ça devait faire un bon moment que tu n’avais pas fricoté.
Si elle savait ! Au moins six mois.
Je l’aide à se relever et l’embrasse à pleine bouche en pétrissant sa poitrine que je commence à dénuder, sortant un à un des seins plus que généreux.
Mais elle se retire.
— J’ai honte de moi, avoue-t-elle en désignant ses malheureux appas.
L’instant d’après elle essaie de les cacher avec ses bras. C’est vrai qu’ils sont mous et tombants, leur masse énorme a dû contribuer à les affaisser. Comme toutes les femmes, elle a besoin d’être rassurée.
— Moi je les aime beaucoup tes gros lolos, Marjorie, regarde, tu vas me faire à nouveau durcir. Laisse-moi m’occuper de toi et te faire du bien.
Je lui désigne le lit où nous serons plus à l’aise pour continuer nos ébats, puis continue mon effeuillage. Son ventre énorme, couvert de cicatrices et de vergetures est un autre sujet ...
... qui la complexe énormément. J’essaie de lui faire oublier en l’embrassant partout, revenant bientôt sur ses tétons que je tète aussi avec avidité. Elle gémit lorsque je lui mordille et me demande de téter plus fort.
— Tète-moi fort, encore plus fort, j’adore ça qu’on maltraite mes nichons.
Je ne me fais pas prier, tout en m’escrimant sur la fermeture de sa jupe.
— Attends, laisse-moi faire.
Lorsque je retire enfin la jupe, une grande tache de cyprine orne sa culotte. Manifestement elle est déjà toute trempée, j’écarte le tissu et constate que ses longs poils bruns sont luisants d’envie. Je pose ma bouche dessus et commence à les lécher.
— Arrache-la ou retire-la, rugit-elle une fois bien excitée, j’ai envie que tu me bouffes à fond.
Une fois le morceau de tissu retiré, elle écarte largement ses cuisses et ouvre sa caverne largement avec ses doigts.
— Bouffe-moi, doigte-moi, baise-moi. Fais de moi tout ce que tu veux. J’ai trop envie là.
Le jus de son con est délicieux, j’enfonce ma langue autant que faire se peut. Puis je remonte vers son bouton turgescent, dur d’envie comme une petite queue. Quelques coups de langue plus tard, elle me gratifie d’un jet de cyprine en criant son plaisir comme une damnée. Mais j’insiste encore, elle est secouée de spasmes, se tord dans tous les sens sous la jouissance.
— Arrête, arrête, je n’en peux plus, finit-elle par dire après un certain nombre d’extases. À force, je vais mourir de jouir.
J’ai pitié d’elle et ...