Les camping-cars ne sont pas faits pour les grosses
Datte: 10/05/2024,
Catégories:
fh,
Inceste / Tabou
fête,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe
... de poupées.
Elle regarde de toutes parts, effarée et, moi qui suis derrière elle, je regarde son gros fessier. Elle tourne soudain la tête vers moi :
— Eh bien, ne te gêne pas ! Il est beau mon gros cul ?
— Oui il donne très envie.
— C’est ici que tu coinces les filles pour leur faire la fête ?
— Tu es la première à venir ici.
— Après Nadine bien sûr.
— Après Nadine évidemment.
— J’espère qu’il n’y en aura pas d’autres, réplique-t-elle en éclatant de rire.
Je m’approche d’elle, presse mon bassin contre ses fesses. Cette conversation m’a émoustillé et je dois dire que je me suis mis à bander.
— Eh bien dis donc, cousin, on se dévergonde. Tu m’as emmenée ici pour me culbuter, je suppose.
— Oui Marjorie, tu ne crois pas si bien dire.
Joignant le geste à la parole, je passe mes bras autour d’elle et saisit ses gros nichons pour les palper.
Mais elle se retourne d’un coup :
— Mais qui te dit que je suis d’accord, lance-t-elle alors avec véhémence, manifestement ulcérée. Espèce de satyre, je ne suis pas une fille facile !
Soudain pris de panique, je m’insurge :
— Loin de moi cette pensée ! Mais j’avais cru comprendre, d’après ce que tu disais…
— Bien sûr, tu t’es dit : « La grosse a l’air bonasse, je vais me la coincer dans le camping-car et me la taper vite fait ». Mais je ne suis pas d’accord et t’auras de la chance si je ne raconte pas ça aux autres…
— Pardonne-moi Marjorie, oublie tout. Je ne pensais pas… Je ne voulais pas…
Je dois avoir ...
... l’air penaud et la mine déconfite lorsqu’elle éclate de rire.
— Mais non, mon Paul, je plaisante, tu as bien le droit de te faire ta cousine adorée. Le pauvre, je t’ai complètement fait débander.
— Tu es vraiment…
— Oui je sais, une grosse salope ! Et encore peut-être plus que tu le crois, dit-elle en s’agenouillant difficilement sur le sol.
Ses mains agiles ont tôt fait de dégrafer ma ceinture et de baisser mon pantalon. Et la voici qui hume ma queue à travers mon caleçon. Elle frotte son nez et sa bouche contre le tissu et me fait durcir.
— Voyons ça, dit-elle en descendant mon cache-sexe. Humm, plutôt pas mal, monsieur le trouillard. Les hommes sont bien montés dans notre famille.
Elle saisit mon vit pour doucement le caresser, me décalotte et lèche mon gland avec sa langue. Je ferme les yeux pour me délecter de cet instant, elle gobe mon gland et le suçote avant de l’enfoncer lentement dans sa bouche.
— Oh purée oui, bouffe-moi la queue, Marjorie.
Elle ne se fait pas prier et embouche totalement ma bite sans plus attendre, avec un appétit féroce.
Je lui saisis la tête et la guide le long de ma trique. Putain, comme c’est bon, ce qu’elle fait ça bien ! Elle pompe de bon cœur mon obélisque désormais dur comme du marbre. Un massage de couilles plus tard et je sens déjà les premiers spasmes de tension remonter dans mon membre. A ce rythme, je ne vais pas tarder à jouir. Je grogne plusieurs fois entre deux gémissements.
Je la préviens :
— Humm, ça ...