1. Préparatif et départ pour l’Érinland


    Datte: 08/05/2024, Catégories: fh, couple, cocus, enceinte, vengeance, dispute, Masturbation Oral 69, fgode, pénétratio, historique, historiqu, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... fente, avant d’en écarter les lèvres pour laper, puis partir à la recherche du clitoris, qu’il se rappelle sensible et développé.
    
    Quel spectacle ! Elle empoigne ses genoux pour s’offrir plus encore. Elle apprécie grandement et la perspective de le recevoir bientôt en elle, la fait mouiller deux fois plus. Cela lui manquait.
    
    Certes, elle avait usé des cadeaux des soldats. Elle utilise régulièrement les cinq godes avec constance et fougue. La veille encore dans sa chambre, chemise troussée, après s’être d’abord caressée en passant presque négligemment un doigt sur sa fente, puis deux, plus énergiquement en écartant les lèvres, enfin toute la main pour s’astiquer longuement l’index détaché pour frictionner le clitoris. Ensuite, seulement, elle s’était emparée de celui taillé à la ressemblance de l’homme, d’un pied de long pour deux pouces de diamètre. Elle le suça un peu, bien que l’humidité de son sexe eût pu l’en dispenser, se l’enfonça dans la chatte avec détermination et se pistonna hardiment tout en continuant à s’astiquer le clito. Le résultat mit peu de temps à se manifester : elle prit son pied. Après un moment de relâchement, elle recommença à se ramoner avec le leurre qui n’avait pas quitté son fourreau, elle se saisit de celui de trois pouces de diamètre pour remplacer le premier et recommencer, obtenant le même résultat. Ce ballet ou des similaires avaient lieu plusieurs fois par semaine. Les cinq godemichés servant alternativement et parfois par deux ...
    ... simultanément à se ramoner le con soit au même rythme soit en décalé, in memoriam certainement de la pratique des deux militaires, qu’elle n’avait somme toute pas détestée. Ce soir et cette nuit, point de leurres. C’est un original qui va être à la manœuvre. Un original vigoureux, conséquent et résistant. Pour l’instant, ce sont les amuse-bouche et ils sont moult agréables. Ils font frémir ses reins. Quand Lucien se redresse, elle se serait sentie frustrée, si elle n’avait su ce que cela annonçait.
    
    Il saisit son vit qu’il promène sur la fleur éclose et humide, frottant le bouton gorgé qui pointe fièrement. Il prend son temps, faisant durer. Patricia apprécie. L’attente fait aussi partie du plaisir, ce qui n’empêche l’impatience de la saillie. Icelle vient. Il s’enfonce d’un coup dans les chairs palpitantes. Elle ne peut retenir un râle de contentement.« Tudieu ! Il n’y a pas à dire, madame la comtesse aime toujours autant se faire foutre. Son imbécile de mari se refuse à la satisfaire. Tant mieux. C’est moi qui vais profiter de ses bonnes dispositions. Partie comme elle est et la connaissant comme je la connais, la nuit va être des plus plaisante », pense Lucien.
    
    Sitôt pénétrée, elle emprisonne son « envahisseur » de ses bras et de ses jambes, comme pour l’empêcher de se sauver. Ce que d’ailleurs, il n’a nullement l’intention de faire. Malgré cet étau qui l’enserre, il la baise, la soulevant presque du lit. Toujours aussi résistant, ceci dure plus du tiers d’heure, avant ...
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