1. Préparatif et départ pour l’Érinland


    Datte: 08/05/2024, Catégories: fh, couple, cocus, enceinte, vengeance, dispute, Masturbation Oral 69, fgode, pénétratio, historique, historiqu, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... persiste, elle frétille de plus en plus.
    
    Il s’interrompt pour la pénétrer. Illico elle referme bras et jambes autour de son mari, enchantée d’être pourfendue. Elle prend son plaisir quelques secondes avant qu’il ne se répande en elle. Tous deux fatigués par une journée harassante, conclue en apothéose par cette joute, s’endorment promptement après s’être murmuré quelques mots tendres.
    
    Le valet de Monsieur et la camériste de Madame, oyant ce qui se passait dans la chambre, se sont gardés d’entrer. Leurs maîtres n’ayant visiblement pas besoin de leurs services. Inspirés par l’exemple, ils s’accordent un moment de détente génésique, oubliant l’un sa femme, l’autre son mari… sans remords.
    
    Léonore après le désastre de son mariage a une période d’abattement. Pour l’en sortir, sa mère, en accord avec ses beaux-parents, s’arrange pour qu’elle côtoie souvent Louis-Auguste, le jeune frère de son défunt mari. Il entre dans leur vue de renouer le rapprochement des familles, malencontreusement brisé par la mort de Bernardin… Plutôt heureusement pour elle.
    
    Un premier temps, après les funérailles, elle séjourne au château des Rougemont de Saint-Pierre, puis revient en celui de sa famille. Elle retourne ensuite chez ses beaux-parents, appelée pour les soutenir en cette épreuve.
    
    Les parents ne veulent pas brusquer les choses, craignant de la part de Léonore une réaction et un refus du cadet, trouvant justification par le deuil, la parenté avec le défunt, sans parler de la ...
    ... manière calamiteuse dont ses noces se sont passées avec l’aîné.
    
    La baronne douairière s’était aperçue de l’attrait qu’exerçait sur Louis-Auguste sa belle-sœur. Au point qu’elle subodorait que sa fille, quand elle se serait rendue-compte que son mari tout noble qu’il fut, était un rustre, fat, doublé d’un sot et de plus porté sur la boisson, aurait regardé un beau-frère, attentionné, drôle et comparé. À partir de là, Dieu seul sait ce qu’il serait advenu. Quoique Madame mère n’ait guère de doute.
    
    Il faut donc que Léonore regarde le nouveau baron de Saint-Pierre autrement que comme le frère de son défunt mari, mais avec les yeux de Chimène. Pour la réciproque, pas de soucis.
    
    Les parents ont tort de s’inquiéter pour leur projet. Déjà lors des deux jours de mariage, il l’avait soutenue et aidée lorsque le mari était saoul et lors de la nuit fatale, elle avait trouvé auprès de lui réconfort et attention. À le fréquenter quasi quotidiennement, elle le voit aimable et prévenant et le trouve charmant et même plus au point que son cœur ne reste pas insensible, sans se l’avouer toutefois.
    
    C’est près d’un mois après son veuvage, lors d’une promenade dans le parc, que ses yeux se sont dessillés. Alors qu’ils causent en marchant, elle manque le pas et se tord la cheville. Galamment, il la soutient jusqu’à une fabrique5 aménagée pour le repos, avec chaises, fauteuils et une bergère sur laquelle il l’assoit. Il lui propose un massage qu’elle accepte. Il s’agenouille, lui retire sa ...
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