1. Préparatif et départ pour l’Érinland


    Datte: 08/05/2024, Catégories: fh, couple, cocus, enceinte, vengeance, dispute, Masturbation Oral 69, fgode, pénétratio, historique, historiqu, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... d’annoncer que cela vient. Elle le libère, se dégage, tombe à genoux pour le pomper furieusement. Il lui faut quand même plusieurs minutes avant de le faire cracher. Presque goulûment, elle avale, ne laissant échapper que quelques gouttes de ses lèvres qui perlent sur son menton.
    
    Cela ne l’empêche point de poursuivre. Voyant que le mandrin retrouve presque aussitôt sa splendeur, elle se met à quatre pattes en se cambrant. Brindacier entre délicatement en ce qui lui est si gracieusement offert, parcourt en père tranquille et s’empare des seins pour les caresser, les triturer doucement, les étirer et les pincer. Il maintient ce train un long moment avant de se redresser, saisir Patricia par les hanches et la pilonner.
    
    Au premier coup de boutoir, elle a un hoquet de surprise. Au second, elle tend déjà les fesses. Il se doutait de la réaction de la belle, aussi n’hésite-t-il pas à la tringler d’amples et puissants coups de queue qui la projette en avant, faisant ballotter ses seins. Après chaque pénétration, arc-boutée sur ses bras, elle lance sa croupe au-devant de cette colonne de chair, se retenant de trop extérioriser le plaisir qui l’inonde. Elle perd la notion du temps. Seul compte ce pieu qui la fouaille.
    
    À peine s’est-il retiré pour arroser ses reins, qu’elle se retourne pour le reprendre en bouche, puis s’allonge, cuisses généreusement ouvertes. Lucien ne se précipite pas, il profite de l’exposition des trésors intimes ainsi exhibés.
    
    — Caressez-vous !
    — ...
    ... Venez !
    — Non, caressez-vous d’abord. C’est tant beau de vous voir.
    
    Elle porte une main à son entrecuisse et s’astique avec conviction, introduisant, un même parfois plusieurs doigts dans son con. Il apprécie le spectacle. Pourtant il en détourne les yeux pour leur faire parcourir la pièce. Il ne voit rien qui pourrait convenir. Le verre trop risqué, s’il se casse, les chandelles trop maigrelettes. Il va pour renoncer quand son regard tombe sur le bouffadou8 écorcé et poli. Cela devrait aller. Il va le chercher. Il a une longueur d’un peu plus de deux pieds de long pour un diamètre de deux bons pouces. La longueur le rend peut-être difficile à manipuler, mais, avec le tempérament qu’elle a, ça devrait pouvoir s’arranger sans trop de problèmes.
    
    La belle comtesse, concentrée sur son ouvrage, n’a pas vu la manœuvre. Quand l’extrémité de l’objet touche sa main, elle ouvre les yeux. Sa réaction ne se fait pas attendre. Elle s’en empare et se le plante dans la chatte. Lucien l’aide en son entreprise en soutenant le bouffadou. Contrairement au Sergent Belrive, il ne cherche pas à l’humilier, mais il est curieux.
    
    — Dites-moi, Madame, avec votre mari qui reste sur la réserve, nos cadeaux, au sergent et à moi, doivent être appréciés.
    — Oui.
    — Vous en servez-vous souvent ?
    
    Dans une conversation presque mondaine, tout en continuant à manier le leurre avec entrain, Madame la Comtesse narre par le détail, non seulement le quand, mais aussi le comment elle use de ces présents. De ...
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