1. Préparatif et départ pour l’Érinland


    Datte: 08/05/2024, Catégories: fh, couple, cocus, enceinte, vengeance, dispute, Masturbation Oral 69, fgode, pénétratio, historique, historiqu, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... Trouver réconfort auprès de son épouse ne peut nuire à son pays.
    — Vous êtes ma femme et me devez obéissance.
    — Vous êtes mon mari et me devez vos devoirs.
    — Cessez de raisonner et de discutailler.
    
    Ce disant, il lui allonge une paire de claques à lui dévisser la tête.
    
    — J’espère que cela vous mettra les idées en place et que vous cesserez vos raisonnements lors de vos prochaines visites, car je doute, hélas, que vous y renonciez.
    
    Patricia met plusieurs secondes à revenir de sa surprise. Les larmes lui viennent aux yeux, tant à cause de la cuisance des gifles que de la désillusion. Elle bredouille :
    
    — Cessez de raisonner et de discutailler.
    
    Vous… Vous avez…
    
    Elle n’achève pas sa phrase, tourne les talons et sort en courant. Une fois dans l’escalier, elle essuie ses larmes, s’efforce à se calmer, prend un air digne et rejoint l’écurie bouillante de rage.
    
    — Nous partons, lance-t-elle à Lucien.
    — L’orage menace.
    
    Elle n’en a cure, saute en selle et lance son cheval. En maugréant, il l’imite. À peine sont-ils partis depuis une heure que les premières gouttes commencent à tomber. Cinq minutes plus tard, ce sont de véritables trombes d’eau qui se déversent accompagnées de force éclairs et roulements de tonnerre. Les deux cavaliers sont trempés comme des soupes. Lucien entre deux grondements crie :
    
    — Il y a une auberge un peu plus loin, peut-être pourrions-nous y trouver abri.
    
    La comtesse qui commence à frissonner acquiesce. Tandis qu’il s’occupe des ...
    ... chevaux, elle demande une chambre avec cheminée et des serviettes. C’est avec un soupir de soulagement, quand le feu crépite, qu’elle quitte ses vêtements pour les mettre à sécher devant l’âtre et s’envelopper de serviettes. Elle commence à se réchauffer quand son accompagnateur arrive.
    
    — Les chevaux sont pansés et ont leur avoine. Madame, avez-vous besoin de quelque chose ?
    — Non rien, je vous remercie… Mon pauvre Lucien, vous êtes trempé. Prenez des serviettes et accrochez vos habits à côté des miens.
    
    Après une brève hésitation, il se déshabille, ne gardant que son caleçon, s’éponge et se drape.
    
    — Prenez un siège et venez auprès du feu vous chauffer. J’aurais dû vous écouter et attendre. Heureusement que vous vous êtes souvenu de cette auberge et qu’il y a de la place.
    — Vous étiez si en rogne que vous n’auriez écouté personne. Pas même le Bon Dieu.
    
    Il s’assoit et pour la première fois regarde la comtesse et s’exclame :
    
    — Tudieu ! On vous a frappée. Il ne faut point laisser cela. Il faut dénoncer à l’officier celui qui a levé la main sur vous.
    — Il n’y pourra rien faire.
    — Que si. Il ne laissera pas un de ses hommes molester la femme d’un de ses prisonniers, surtout si c’est un Monsieur.
    — Ce n’est pas un garde… C’est mon mari, achève Patricia dans un murmure, tandis que les larmes se mettent à couler.
    — Tout Gentilhomme qu’il soit, ce ne sont pas des manières. Ne lui a-t-on pas appris de ne point frapper les femmes, grommelle l’ex-soldat ?
    — Il a dû ...
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