Préparatif et départ pour l’Érinland
Datte: 08/05/2024,
Catégories:
fh,
couple,
cocus,
enceinte,
vengeance,
dispute,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
historique,
historiqu,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... sa prise et s’effondre le nez dans l’herbe. Les deux autres abandonnent leur proie pour faire face au nouvel arrivant. Hilary se redresse prestement et loin de fuir, saute sur le dos de l’un d’eux. Elle s’agrippe à son cou d’un bras et lui lacérant le visage de sa main libre.
Celui qui reste libre de ses mouvements ne fait pas le poids et est rapidement mis hors de combat. Le sauveur vient alors s’occuper de celui qui se débat avec Hilary. Gêné par icelle toujours à ses basques et le sang de ses griffures qui ruisselle et l’aveugle, son sort est bientôt réglé. Il gît à terre.
Les deux autres abandonnent le champ de bataille et le troisième larron et prennent clopin-clopant la poudre d’escampette.
Hélas, pour celui qui reste, Hilary, comme en transe, le bourre de coups de pied. D’abord appliqués au hasard, ils visent ensuite l’entrejambe. Reprenant son souffle un moment, elle avise un couteau à la ceinture. D’un geste vif, elle s’en empare avec l’intention évidente d’égorger son agresseur. Son sauveur s’interpose. Elle se retourne contre lui. Il esquive.
— Mademoiselle Hilary. Il ne vaut pas la peine que vous gâchiez votre vie. Qui veillera sur Mademoiselle Léonore, si vous ne pouvez plus le faire ?
D’entendre parler de sa maîtresse, calme la jeune femme.
— Venez. Nous allons au château. Tenez. Prenez ma veste, vous ne pouvez rentrer avec vos vêtements en cet état.
Elle a un mouvement de recul, puis se ravise et l’enfile en disant :
— Merci.
Elle ...
... tend le couteau.
— Je suis désolée, Monsieur Lucien… Cela m’a rendue folle de rage. Je ne savais plus ce que je faisais. Dire que j’aurais pu vous blesser, ou pire encore, alors que vous veniez de me sauver. Me pardonnerez-vous ?
— N’ayez crainte. Je sais ce que combattre peut faire à un homme. Vous, vous aviez encore plus de raisons de haïr vos adversaires.
Ils font quelques dizaines de pas avant qu’elle ne fonde en larmes et se laisse aller sur l’épaule de l’ancien soldat. Il ne sait que faire. Il lui tapote l’épaule.
— Calmez-vous. C’est fini.
Elle reste à sangloter, accrochée à lui. Il lui caresse les cheveux en lui disant des paroles apaisantes avant de conclure :
— Venez. Il faut soigner vos blessures.
Ils vont pour se mettre en route, mais une des jambes d’Hilary se bloque. Il l’installe sur un tronc et propose de regarder sa jambe en expliquant que sa grand-mère rebouteuse lui a un peu montré comment procéder. Cela lui a servi à l’armée. Après une courte hésitation, elle accepte. À partir du pied, il tâte en remontant. Elle doit fournir un effort pour le laisser procéder. Arrivé au genou, elle grimace. Il passe le bout de ses doigts sur l’articulation. Étonnée, elle le regarde couper un morceau de bois et le lui tendre.
— J’ai trouvé où cela ne va pas. Cela va faire un peu mal. Prenez ce bout de bois et mordez-le. Cela vous aidera.
À peine l’a-t-elle entre les dents, qu’il fait quelques gestes qu’elle ne voit pas. Sans le bâton, elle aurait ...