Préparatif et départ pour l’Érinland
Datte: 08/05/2024,
Catégories:
fh,
couple,
cocus,
enceinte,
vengeance,
dispute,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
historique,
historiqu,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... plus aussi souvent par le château depuis que sa femme est venue le rejoindre. Officiellement pour lui éviter la fatigue des allées et venues, mais surtout trouvant trop courts les moments où ils se retrouvaient. Elle préfère qu’il se fatigue à la chevaucher, elle plutôt que des chevaux.
Le soupirant de Léonore n’a pas trop à attendre. Madame la baronne douairière, avertie par les parents, s’empresse de faire venir son fils. Le lendemain de son arrivée, Louis-Auguste de Rougemont, baron de Saint-Pierre, et ses parents se présentent. Henri et sa mère les reçoivent.
Avant l’entretien, Henri a eu une conversation avec sa sœur. Bien qu’elle se soit efforcée de ne rien laisser paraître, il ne lui a pas fallu plus de quinze secondes pour se rendre compte que Léonore est éprise du jeune baron. Ses légers bafouillements, son air trop détaché, l’éclat de ses yeux, le rose de ses joues lorsqu’il est question de lui, ne laissent aucun doute sur ses sentiments.
Tout le monde est donc d’accord, mais fort peu charitablement, il fait languir les tourtereaux, en ayant l’air d’hésiter. Des raisons contraires à l’union sont avancées, d’autres partis sont même évoqués. Après les avoir laissés sur le grill un bon moment, l’accord est donné.
Les jouvenceaux rayonnent de bonheur. En aparté, Marie-Amélie gronde son mari :
— N’avez-vous point honte d’avoir ainsi tourmenté votre sœur ?
— Que nenni, après le doute, la joie n’en a été que plus grande.
Les modalités pratiques du ...
... mariage sont vite réglées. Elles étaient déjà prêtes. Seule la date restait en suspens. Le départ de l’expédition étant fixé deux semaines plus tard, le mariage aura donc lieu dans dix jours. Cela fixé, les futurs se retrouvent à leur grand dam séparés, chacun en son château. Fini de se mignarder, maintenant que le mariage est assuré. Il leur faudra attendre la nuit de noces. La proximité d’icelle en atténue le dol.
Il n’y en a qu’une que le mariage inquiète, c’est Hilary. Seule la joie évidente de sa maîtresse la rassérène quelque peu. Lorsque son service ne la retient pas, elle aime à se promener dans le parc, les bois et les champs alentour. C’est sa manière de se détendre.
Hors un jour, alors qu’elle traverse une clairière, elle croise trois gars. L’un d’eux s’écrie :
— C’est l’une des Glaisanes du château.
À partir de là, tout part en quenouille.
— Alors tu cherches fortune, pour t’assurer que les Canfrais sont plus doués que les Glaisans. Ne cherche plus, tu as trouvé. Nous sommes prêts à nous dévouer. Pas vrai les gars.
Elle les ignore et accélère le pas. Ils la pressent, ont les mains baladeuses. Elle se retourne et assène au plus proche une claque retentissante. Il prend mal la chose. Avec ses compères, bien qu’elle se défende bec et ongles, ils réussissent à l’acculer. Elle prend des coups, les rend, poursuit le combat, malgré son corsage déchiré. Ils réussissent à la renverser et s’apprêtent à « lui faire son affaire ». Soudainement, l’un d’eux relâche ...