1. Livré


    Datte: 29/04/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... l'ordre qui irait rallonger les règles permanentes me glaça. « Le petit en permanence toute la journée, le gros toutes les nuits. Ta langue pour les nettoyer devant la caméra! » Je ne savais pas où Elle désirait m'emmener mais je ne pouvais pas reculer, il me faudrait m'habituer, à ne plus jamais avoir mon corps libre. Je ne pensais pas que cela pourrait aller aussi loin, j'étais pourtant excité dans ma petite cage qui débordait de mon sexe, qu'avait Elle donc fait de moi?
    
    Si le petit semblait être fait pour mon cul, le gros plug était réellement imposant, impressionnant. Il rentra, je dois l'avouer, presque plus facilement que le petit la première fois. Mais la sensation d'envahissement était insupportable. Comme j'étais sous les caméras, je ne pus même pas l'expulser pour me soulager quelques instants. Je sentais mon anneau palpiter, tandis que la pression du plug attisé par celle du corset me faisait mal au ventre. Je ne pourrais sans doute pas dormir de la nuit, et je ne me trompais pas. Comme nous étions toujours un Vendredi j'aurais le week-end pour me reposer. Je ne me suis jamais réellement habitué à ce gros rouge, même s'il fait partie de ma vie, mais j'ai appris à dormir avec cette sensation d'avoir le cul dévasté. A ramer plusieurs heures par jour avec le petit profondément empalé en moi, mon anus s'est fortement distendu, me procurant beaucoup de plaisir, avec cette sensation incroyable de le sentir couler. Ma Maîtresse l'apprécia et me complimenta. Je ...
    ... crois que ce fut le premier compliment de Sa part, j'en fus retourné. Mais ma descente aux enfers n'était pas encore terminée.
    
    7.
    
    Ma vie ne se résumait plus qu'à deux activités bien distinctes, mon travail où je me rendais corseté, en bas, avec un plug au fond de mon anatomie, sans avoir le droit de déjeuner, ni même de dialoguer avec d'autres collègues, m'isolant tout à fait, et ma vie pour Elle, semée de contraintes et de souffrances sans cesse renouvelée. Je n'avais plus de répit. Je ne mesurais en fait pas qu'il me restait encore beaucoup de plaisirs, comme lorsqu'en bonne santé on ne réalise pas la chance qui est la notre.
    
    Ainsi un Vendredi en rentrant rapidement chez moi, je n'avais pas le droit de m'attarder, je fus sidéré en ouvrant la porte de mon petit appartement. Je crus d'abord avoir été cambriolé, mais je compris très vite qu'il n'en était rien, et qu'Elle était passée. Mon lit, mon canapé, mes chaises avaient disparu. Il ne restait qu'une couverture à la place qu'occupait mon lit. Je devinais le contenu du mot laissé par ma Maîtresse, ce confort m'était dorénavant interdit, je ne devais vivre que sur le sol comme la chienne que j'étais. Je découvrais l'usage systématique du féminin qu'Elle avait employé et qu'Elle voulait que j'emploie. Je ne comprenais pas bien, je n'étais certainement pas digne de cela, mais sans doute voulait-Elle définitivement me déviriliser.
    
    Ainsi je pris l'habitude de dormir à terre, sans même un oreiller, comme une chienne ...
«12...111213...»