Livré - Histoires de Sexe

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... je ne lui cachais rien dans mes compte rendus quotidien. Un vendredi, parce que c'était le jour des surprises, un nouveau paquet m'attendait. Je découvris un objet en plastique transparent, avec un cadenas. Je devinais immédiatement qu'il s'agissait d'une ceinture de chasteté. La notice était simple, l'engin ingénieux, l'ordre précis. Posant des glaçons sur mon sexe pour le rétrécir, je me trouvais cadenassé avec l'impossibilité réelle de jouir ou même de me caresser, ce que je faisais souvent (sans le cacher à ma Maitresse). Dès que j'avais une érection, la pression tirait sur le pastique, écrasant mes couilles et me faisant terriblement mal. Chaque nuit je me réveillais plusieurs fois avec ces douleurs dues à mes érections nocturnes, et au matin il arrivait que je doive me lever pour soulager la douleur. Comme avec tout, je m'habituais, à ne plus manger, à faire des heures de gymnastique, à vivre en corset, et maintenant à porter cette ceinture de chasteté. Le corset m'était imposé en permanence, je ne pouvais l'enlever qu'une fois par jour pour prendre ma douche. Je ne savais plus si c'était un soulagement ou une douleur de le faire, mais ma gymnastique ainsi corseté était vraiment désagréable. Ma Maîtresse s'en moquait et exigeait que ma taille s'affine chaque semaine. Au bout d'un mois je reçu un second modèle, identique au premier, 10 cm plus petit. De façon très excitante, je notais que ma taille diminuait de façon très visible, m'obligeant à faire reprendre tous ...

... mes costumes, souvent à les changer. En sous vêtements féminins, j'utilisais maintenant une taille 38 venant d'un 46. J'étais assez fier de moi, tirant là une sorte de coquetterie mal placée, puisque c'est ma Maîtresse qui décidait de tout. C'est Elle qui devait être fière.

Le paquet me fut livré au bureau, je ne me méfiais et l'ouvrit. Réalisant ce qu'il contenait je le refermais de peur d'être surpris. A l'intérieur deux plugs, rouge, de taille différent. Un qui me sembla gros et l'autre plus gros encore. Un mot de la main de ma Maîtresse : « Va te remplir » ne laissait aucun doute à ce que je devais faire. Je n'étais pas vierge du cul ayant déjà reçu quelques gods et plugs, et même la main d'une Femme, une fois. Je m'en félicitais en me rendant aux toilettes masquant le plus dans ma poche de pantalon. Je le suçais puis l'enfonçait doucement dans ma rosette qui s'écarta douloureusement. Je me pensais plus souple et je dus m'y reprendre plusieurs fois, et même l'enlever alors qu'il était rentré pour soulager la douleur. Mais quand enfin je me relevais, c'était pour constater que l'engin était bien à sa place, et pas trop gênant.

Ma démarche était sans doute différente, mais plus personne ne faisait attention à moi dans la boîte. Je me retins aux accoudoirs pour m'asseoir, sentant l'engin vriller en moi et m'appuyer loin dans le ventre, sans rien pouvoir faire pour me protéger. J'étais empalé par le désir de ma Maîtresse à qui je fis un complet compte rendu. En retour ...