Afro-beat
Datte: 27/04/2024,
Catégories:
fh,
couleurs,
inconnu,
prost,
handicap,
amour,
massage,
caresses,
Oral
mélo,
amouroman,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... trucs à manger en passant à côté de la table, mâchons et avalons en vitesse avant de nous allonger sur le sofa. Serrés-collés sur le sofa, tant le machin est étroit.
— J’ai été testée négative la semaine passée, et toi ?
— Il y a un mois, mais sans personne depuis, à part toi.
Cette mise au point faite, nous ne cessons plus de nous caresser, de nous embrasser, de faire l’amour sans pénétration de mille et une manières, plus délicieuses les unes que les autres. Privé des connexions de plaisir clitoridien, le corps de Noro est sensible à un nombre incroyable de stimulations.
Pendant que nous reprenons des forces entre deux longues séries d’ébats amoureux, elle m’apprend à lui donner du plaisir sans me concentrer sur son intimité. Elle m’offre son corps sans limites, sans fausse pudeur. Tout nous est bon pour partager des trucs de plus en plus sensuels, de plus en plus raffinés, de plus en plus inattendus.
Peu après le lever du soleil, elle me confirme même, le souffle encore agité, que mes caresses sur ses seins l’ont amenée à quelque chose qui doit ressembler très fort à un orgasme. Une sensation proche de celle que lui avait procurée la femme dont elle m’a parlé.
— Sauf qu’avec toi, il y a des sentiments en plus, voilà ! avoue-t-elle en cachant son visage sous une couverture.
— Et comment ils sont, les sentiments ? demandé-je de manière aussi anodine que possible en retirant la couverture de son visage.
— Ils sont comme ce que je ressens lorsque tu jouis ...
... tout contre moi, plus ce que je ressens lorsque tu me regardes en caressant ma joue, plus ce que je ressens lorsque tu glisses ta langue entre mes fesses, plus ce que je ressens lorsque tu poses la pointe de ta pointe contre mon intimité meurtrie sans que tu ne tentes de m’envahir, plus ce que je ressens lorsque je reviens dans tes bras après avoir été pisser. Tu vois le truc ?
Soudain, sans que je puisse le retenir, l’ombre d’un mec prêt à éjaculer sur les seins de Noro traverse mon esprit. Un mec qui a payé et qui en veut pour son argent. Je me force à figer l’image, à la contempler sous tous ses aspects, à accepter les émotions qu’elle provoque.
Noro s’aperçoit immédiatement de mon changement d’humeur. Elle se méfie, elle veut savoir.
Je lui décris l’image. Elle encaisse et attend la suite. Je n’arrive plus à formuler de mots, seulement à décrire cette putain d’image.
— C’est comme si j’étais dans un coin du salon et que je vous regardais. Il est laid, il est excité, tu regardes brièvement l’heure à la pendule pour savoir combien de temps cela va encore durer, tu calmes ses ardeurs, ralentis tes caresses, il souffle fort, il transpire, il va vider ses couilles, c’est inéluctable, son regard fou montre qu’il vient de décoller, son dos se crispe, son ventre se tend au moment du premier spasme, tu diriges imperceptiblement sa queue hors de portée de tes seins, et déjà la première giclée s’échappe, heureusement sur le drap, loin de ta peau.
— Arrête, tu te fais du ...