1. Afro-beat


    Datte: 27/04/2024, Catégories: fh, couleurs, inconnu, prost, handicap, amour, massage, caresses, Oral mélo, amouroman, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    Elle, c’est Noro, une jeune femme qui me soulage de temps à autre de mes tensions sexuelles. Pour une centaine d’euros, elle m’offre ces manipulations érotiques qui me font oublier mes soucis personnels, me libèrent de mes problèmes relationnels, mettent un peu de couleur dans ma vie et m’aident à rester debout.
    
    Bref, Noro, c’est celle avec qui je prends rendez-vous une à deux fois par mois dans le salon de massage thaï au bout de ma rue.
    
    Le détail amusant, c’est que Noro n’est pas Thaïe, mais Somalienne. Question exotisme asiatique, c’est assez nul. Mais question massage, elle est une reine.
    
    À l’instant, Noro me fait face, nue, assise sur le haut de mes cuisses. Auparavant, elle m’a massé sur tout le corps avec application et beaucoup d’efficacité. Depuis quelques minutes, elle me prodigue les finitions d’un juteuxhappy ending. Ma queue dans sa main, elle me branle avec douceur. Elle va droit au but, sans fioritures. Un doigt sur mon méat urinaire, un autre sous le gland, elle ne va pas tarder à me faire jouir.
    
    J’adore son sourire à l’instant du premier spasme. Je crois chaque fois y lire un mélange de satisfaction d’avoir décroché la timbale si rapidement et de tendresse pour le « petit blanc » qui s’abandonne à ses longs doigts sensuels. Peut-être même une ou deux autres émotions, dont elle ne me fera jamais part, mais qui font frissonner son cœur de femme.
    
    Face à moi, sur mes cuisses, c’est la finitionAfro-beat qu’elle me prodigue aujourd’hui. Ma préférée. ...
    ... La première fois que j’ai eu rendez-vous avec elle, elle m’a donné le choix entre l’Afro-beat, laMali-pute ou laPataya-slut. Je déteste ces noms, que je trouve dégradants, mais Noro insiste pour les conserver, malgré la connivence qui s’est installée entre nous depuis le temps que je lui rends visite.
    
    Les différences sont minimes. J’aime devoir m’abandonner entièrement entre ses mains pour la versionAfro-beat, les yeux fermés, sans savoir jusqu’où cela va me mener. Parfois jusqu’à de brèves et fulgurantes tortures érotiques si je ne jouis pas assez vite.
    
    L’optionPataya-slut n’est pas très différente, si ce n’est un étrange karaoké thaïlandais, dans lequel la musique est remplacée par une bande-son de film porno. C’est très excitant d’entendre Noro faire semblant de jouir, comme les prostituées thaïlandaises font semblant de chanter dans les bars de Pattaya. Mais j’avoue que ses gémissements assez réalistes me distraient du plaisir qu’elle me donne, et je ne choisis que rarement cette option.
    
    Le dernier choix autorise des caresses sur son corps pendant qu’elle me donne du plaisir. Seule interdiction, glisser ma main entre ses cuisses. Son intimité est taboue, dit-elle, et si j’aventurais le début d’un petit doigt vers cet endroit, je serais catapulté hors du salon de massage sans ménagements. Elle dit que les blancs ont déjà colonisé toute l’Afrique, et qu’elle ne va pas les laisser aussi envahir son intimité.
    
    J’ai dû promettre. Je ne choisis donc cette option que ...
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