Afro-beat
Datte: 27/04/2024,
Catégories:
fh,
couleurs,
inconnu,
prost,
handicap,
amour,
massage,
caresses,
Oral
mélo,
amouroman,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... ne cherche pas à écarter mes cuisses, je n’y suis plus prête.
Il faut croire que je ne suis pas trop mauvais en manipulations. Après une petite demi-heure, je sens ses muscles se relâcher, son souffle ralentir. Sans doute épuisée par sa journée et les émotions, elle s’est endormie dans le lit où je me suis si souvent masturbé en pensant à elle, en rêvant de son corps fin et musclé, en fantasmant sur tout ce que je voudrais lui faire, lui offrir, partager entre ses bras.
Maintenant elle est là, bien réelle, sans défense, mais je ne sais plus quoi lui faire, lui offrir, à part quelques heures de repos. Et un peu de tendresse.
Je finis de préparer deux ou trois choses à manger, pour être prêt lorsqu’elle se réveillera. Puis je me déshabille à mon tour et la rejoins sous le duvet.
Nous nous réveillons peu après minuit. Elle, à cause d’un mouvement brusque de ma part en rêvant que je tombais dans le vide. Moi, à cause de l’odeur de son corps qui excitait ma virilité même dans mon profond sommeil.
Elle sent mon sexe raide bandé contre sa cuisse, commence par caresser ma joue en me souriant, puis pose ses doigts sur ma tige.
— C’est vraiment ce que tu veux ?
— J’aimerais beaucoup plus, mais je ne peux pas te l’offrir. Je suis trop étroite, c’est trop douloureux, et de toute façon, je ne peux pas avoir d’orgasme.
— Mais du désir ?
— Oui, mais seulement quand je suis en confiance et si le mec ne cherche pas à me caresser entre les cuisses.
— Qu’est-ce que tu ...
... aimes, alors, de la part d’un mec ?
— Qu’il me caresse et m’embrasse partout, sans essayer de m’exciter. Longtemps, très longtemps. Peu à peu, cela se transforme, cela devient un plaisir plus précis. Mon ventre s’agite, j’arrive à m’ouvrir. Une fois, une femme a caressé mes seins, et quelque chose a explosé au fond de moi. Mais ils sont rares ceux qui savent me toucher, à qui j’arrive à faire entièrement confiance.
— Si tu es encore là, c’est que j’ai une petite chance.
— Une chance de quoi ? demande-t-elle, à nouveau sur ses gardes.
— De te caresser agréablement, comme tout à l’heure apparemment.
— Sois honnête et cesse de rêver. Je suis bien avec toi, à l’instant. Mais dans quelques heures, je retourne au taf. Tu veux vraiment passer du temps avec une pute black du quartier ? Une meuf qui quitte ton lit pour aller faire gicler des gars à la chaîne ?
— Comment savoir avant d’essayer ?
— Pourquoi as-tu dit tout à l’heure que tu n’avais plus rien à perdre ?
— Une longue série d’emmerdes couronnée de mauvais choix. Mais je peux t’affirmer fièrement posséder tout ce que tu vois ici : mon lit, la caisse qui me sert de table de nuit, la table à laquelle je t’invite à venir manger, le sofa sur lequel réaliser quelques exploits sexuels, et un ou deux objets de survie genrelaptop et brosse à dents. Même les bouquins ont été payés cash !
— Je veux bien tester le sofa, avoue-t-elle en s’emparant de ma queue qui n’a pas débandé depuis le début de la discussion.
Nous prenons des ...