Afro-beat
Datte: 27/04/2024,
Catégories:
fh,
couleurs,
inconnu,
prost,
handicap,
amour,
massage,
caresses,
Oral
mélo,
amouroman,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... c’est que je suis sûre qu’avoir appris ma mutilation t’excite encore plus. Tu veux voir comment c’est, entre les cuisses d’une black excisée. Tu veux voir ? Crie-t-elle. Eh bien, regarde, régale-toi… !
À la vitesse de l’éclair, elle se déshabille en éparpillant rageusement ses vêtements aux quatre coins du salon. Puis elle s’allonge complètement nue sur la table, jambes écartées, en position d’examen gynécologique.
— Allez, regarde maintenant, contemple l’étendue du désastre et montre-moi ta pitié pour achever le tout.
Que dire ? Que faire face à un tel bouleversement ? Pourquoi me montre-t-elle à moi, ce qu’elle cache à tant d’autres ? Y a-t-il derrière sa colère d’autres sentiments envers moi, moins agressifs ? Je ne suis responsable de rien, et c’est tout à fait par hasard que j’ai su ce qui lui a été infligé à son adolescence.
Je réalise alors soudain l’intensité du silence qui nous entoure depuis quelques instants. Noro ne dit plus rien, elle est immobile, me suivant du regard avec une acuité tétanisante. Au moindre geste inadéquat, je sens qu’elle va exploser et que je ne la reverrais plus jamais.
La pendule, qui lui permet de doser ses bienfaits dans le temps imparti, indique quatorze heures quinze. Cela me laisse trois-quarts d’heure pour la convaincre. Mais de quoi ?
Lentement, je m’approche d’elle, tends la main vers son ventre. Juste avant de la poser sur sa peau, je lui demande si elle accepte que je la touche. Elle ferme les yeux. J’effleure ...
... son bas-ventre, délicatement, respectueusement. Puis j’appuie ma tête au creux de son ventre, le regard tourné vers ses seins.
Nous restons longuement l’un contre l’autre. Lorsqu’elle semble s’être un peu apaisée, j’ose poser la question qui brûle mes lèvres.
— Noro, le petit blanc raciste aimerait t’offrir un massage.
— Que veux-tu te faire pardonner ?
— Peut-être un instinct de macho prédateur.
— Demande acceptée. Mais ce n’est ni le lieu ni l’heure, dit-elle en se redressant après avoir fermé ses cuisses.
— Alors quand ? Où ?
— Tu vis seul ?
— Oui.
— Donne-moi la clé de ton appartement et ton adresse. Attends-moi après 21 heures. J’y passerai peut-être.
Je lui donne le sésame sans hésiter une seconde.
— Tu es à ce point certain que je vais venir ? Et seule, sans risque pour toi. C’est de la naïveté ou de l’inconscience ?
— Qu’ai-je à perdre à part mes dernières illusions ?
— Vu sous cet angle… Maintenant, casse-toi, je me sens devenir gentille !
Je passe le reste de la journée à ne rien arriver à faire, tellement je suis troublé par ce qui se passe. Peu avant vingt et une heures, sans savoir vraiment pourquoi, je sors sur le palier. Noro est assise sur le pas de ma porte, le visage dans ses mains.
— Depuis quand attends-tu là ? Pourquoi n’as-tu pas sonné ?
— Je n’ai pas eu la force de faire le dernier pas. Je ne maîtrise plus rien et j’ai peur.
— De moi ?
— Arrête de poser des questions. Masse-moi ! dit-elle en s’allongeant nue sur mon lit. Mais ...