1. Matures au confessionnal (3)


    Datte: 26/04/2024, Catégories: fh, 2couples, couple, couplus, grosseins, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Oral préservati, fsodo, hdanus, échange, Partouze / Groupe confession, chronique, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... ça faisait un peu scandale. J’ai redressé le buste, tendu la croupe, saisi ma veste et mon sac à main et bye bye. M. X. était ravi de ma compagnie et c’était l’essentiel. Au bistrot, on a parlé de ses livres, de moi et surtout de lui. Divorcé, « homme libre », je le voyais venir. Je ne suis quand même pas née de la dernière averse. Ce quadra magnifique avait des besoins sexuels à assouvir. Je balançais encore. Mais quand j’ai reçu un appel de Frédéric, me demandant quand je rentrais, je lui ai répondu qu’on sortait prendre un pot avec M. X. et que je rentrerais sans doute tard, sans préciser que j’étais seule avec lui. C’était faux, évidemment, et M. X. a compris qu’il avait gagné la partie. On a mangé sur place une salade arrosée d’un vin blanc et suivie d’un café. Et quand il m’a proposé, le sourire en coin, de l’accompagner à son hôtel, j’avais encore la possibilité de dire :
    
    — Non, je rentre chez moi, mon mari et ma fille m’attendent.
    
    Mais j’ai dit oui. Je savais que j’allais passer à la casserole, mais pas avec n’importe qui : l’auteur le plus couru et prolifique du moment, j’étais bien placée pour le savoir. Une vraie célébrité qui passait souvent à la télé. Un beau mec qui faisait chavirer les cœurs. Le genre de truc qui n’arrive jamais à une petite caissière, fut-elle dotée d’une paire de nichons défiant toute concurrence ! J’ai pensé brièvement que j’allais tromper mon mari pour la première fois depuis mon mariage. Mais une force irrésistible me poussait vers ...
    ... cette transgression. En clair, j’avais envie de baiser avec ce type.
    
    J’étais quand même un peu tendue en entrant dans sa chambre. Il m’a ôté la veste, pris mon visage et m’a embrassée, comme je ne l’avais pas été depuis longtemps, pardon, Frédéric. Un baiser langoureux, puissant, envahissant, qui a fait fondre mes dernières résistances. J’ai collé mes seins contre son ventre et senti aussitôt quelque chose de dur contre le mien. Sa queue. Il fallait que je me révèle à la hauteur de l’enjeu. Montrer que la petite caissière n’était pas un mauvais coup. Je me suis accroupie, j’ai tiré sur la fermeture éclair de son pantalon et j’ai dégagé un pénis qui ne demandait que ça avant de l’emboucher tandis que ses yeux tombaient sur mon décolleté en U. J’ai fait de mon mieux en suçant tout en tournant la main autour de la hampe, mais il s’est vite dégagé. Il voulait me voir à poil. Je me suis retournée pour qu’il tire sur la fermeture de ma robe, dégrafe mon soutif et empaume mes seins en les soupesant, comme pour évaluer leur volume et leur densité. Puis il a baissé mon slip et m’a poussée vers le lit après que j’eus fait valser mes escarpins. Il m’a regardée en se paluchant, visiblement ravi du spectacle que je lui offrais. Il s’est mis nu à son tour, m’offrant un corps glabre au pénis triomphateur qui lui faisait comme une corne, et il m’a rejoint sur le lit.
    
    J’ai été caressée, doigtée, sucée, léchée, par-devant et par-derrière. Je bouillais, avide d’être pénétrée, n’importe où ...
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