1. Matures au confessionnal (3)


    Datte: 26/04/2024, Catégories: fh, 2couples, couple, couplus, grosseins, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Oral préservati, fsodo, hdanus, échange, Partouze / Groupe confession, chronique, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... je n’ai pas à me plaindre sexuellement de ses services, bien au contraire. On fait suffisamment l’amour pour que je ne sois pas tentée d’aller voir ailleurs. Et il s’occupe si bien de mes seins…
    
    Mais si je prends la plume pour me confesser, c’est précisément parce qu’un événement a bouleversé mes petites habitudes. Le patron invite régulièrement un écrivain ou une écrivaine venant de publier un livre. Or, ce jour-là, c’est M. X qui signait son bouquin dans la librairie. Mon auteur favori. Mon auteur culte. Celui dont je n’ai jamais rien manqué. J’étais euphorique à l’idée de le rencontrer et j’avais fait en sorte de pouvoir sortir de ma caisse pour solliciter sa dédicace. Je l’ai trouvé encore plus beau qu’en photo avec sa chevelure aux mèches blanches tombant sur le cou, sa barbe légère, ses yeux azur, bref ce charme qui fait fondre les dames, lesquelles se bousculaient d’ailleurs auprès de lui.
    
    Quand ce fut mon tour, je déployai tous mes atouts. Tout en lui disant à quel point j’étais fan de ses romans, je me penchai en avant, laissant mon décolleté en U bâiller devant ses yeux, dévoilant au moins deux tiers de mon buste faramineux, si ce n’est pas les trois quarts. J’ai vu alors son regard limpide devenir fixe puis brillant devant la perspective montagneuse qui s’offrait à lui. Il remonta lentement jusqu’à mon visage, il découvrit ma crinière argentée et un grand sourire illumina ses traits. Dans le petit échange littéraire qui suivit, je lui glissai que je ...
    ... travaillais dans la librairie, que je vendais beaucoup de ses livres, bref, je flattais son ego d’auteur, tant et si bien qu’au bout de quelques minutes qu’il fallait abréger(ça piaffait derrière moi), il me proposa de prendre un verre après la signature et le cocktail qui devait suivre avec le patron. Je m’empressai d’accepter, sans penser une seconde à Frédéric et à ma fille qui m’attendaient pour dîner.
    
    Au cocktail, où je m’étais invitée une fois la boutique fermée, M. X. se rua à ma rencontre, provoquant quelques déceptions autour de lui. La vision de mon décolleté, cette fois de haut en bas, sembla à nouveau le fasciner, d’autant qu’il pouvait cette fois l’apprécier avec l’ensemble de mon corps. Heureusement, je n’ai pas trop grossi même si je sens pointer un petit quelque chose en dessous du nombril. Mes fesses ne rétablissent pas l’équilibre avec mon buste et restent contenues, si j’ose dire, même si je trouve qu’elles s’arrondissent un peu trop vite à mon goût, ce qui n’est d’ailleurs pas l’avis de Frédéric, qui s’en occupe de plus en plus. On a parlé de ses livres, mais il voulait surtout être sûr que je lui consacrerais un peu de temps après les mondanités d’usage. Tu parles ! Je ne demandais que ça.
    
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    Quand j’ai quitté le cocktail en compagnie de M. X, j’ai senti et vu des regards courroucés : ceux de mes collègues de la caisse, mais aussi des libraires et même du patron. Une petite caissière partie en compagnie d’une célébrité et qui plantait là les autres, ...
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