1. Matures au confessionnal (3)


    Datte: 26/04/2024, Catégories: fh, 2couples, couple, couplus, grosseins, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Oral préservati, fsodo, hdanus, échange, Partouze / Groupe confession, chronique, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Cette série évoque la vie sexuelle de femmes mûres, mariées ou non, ayant vécu un épisode particulier qui les a poussées à la confession intime.
    
    Je m’appelle Nathalie, j’ai 40 ans et le fait de changer de décennie m’ennuie prodigieusement. Vieillir m’angoisse, en particulier parce que je travaille au milieu de personnes plus jeunes que moi. Je suis hôtesse de caisse dans une grande librairie et je vois défiler tous les jours un public varié, généralement bien éduqué, avec lequel j’entretiens de bons rapports malgré la brièveté de l’échange. Certains acheteurs, le plus souvent des hommes, me confient leur livre à encaisser de préférence à mes collègues voisines à la caisse. C’est flatteur et je ne voudrais pas que mon avancée en âge y change quoi que ce soit. Mes jeunes collègues seraient trop contentes.
    
    Jusqu’à présent, j’ai mis toutes les chances de mon côté. Certes, je suis petite(1,50 m), mais ça ne se voit pas de mon comptoir où je suis une femme-tronc. Et à propos de tronc, si autant d’hommes me choisissent pour payer, c’est parce que ma position en contrebas leur permet de plonger dans mon décolleté quasi immuable. La nature m’a en effet pourvue d’une paire de seins en forme d’obus qui tranche avec le reste de mon corps menu, dans une espèce de déséquilibre physique qui m’a longtemps complexée.
    
    Mon autre caractéristique est une imposante crinière prématurément blanchie que j’ai fini par renoncer à teindre quand je me suis ...
    ... aperçue qu’elle attirait les regards, parce qu’elle contraste avec mon visage dépourvu de rides(pourvu que ça dure). Si j’ai pu assumer autant mon corps, c’est grâce à mon mari Frédéric. Il a su user de mes seins comme un virtuose de son violon et m’a encouragée à les mettre en valeur avec une libéralité qui m’a surprise au début, mais dont je profite finalement beaucoup. D’où les décolletés en pointe, en carré ou en U qui font le bonheur des mateurs et de mon patron, persuadé(il me l’a dit) que mon « charme » fait venir des clients. Je crois qu’il exagère, mais s’il le pense, tant mieux. Il est vrai que j’ai vu certains clients dépenser exagérément pour le simple plaisir de venir plonger les yeux dans mon sillon mammaire, des fois qu’il verrait apparaître un bout d’aréole surgi de mes balconnets tendus à craquer. Cela arrive d’ailleurs parfois, je l’avoue, ce qui m’oblige à rectifier(lentement) le tir…
    
    Bref, j’en suis arrivée à conclure que je suis un peu exhib, pour ne pas dire allumeuse. La fidélité à Frédéric a toujours été ma ligne de conduite, même si j’ai été parfois l’objet de propositions malhonnêtes, du style « vous sortez à quelle heure du boulot, ça vous dirait de prendre un verre avec moi ? » J’avoue avoir été tentée parfois quand le mec était beau gosse, mais c’était mettre le doigt dans un engrenage fatal et je ne suis pas sûre du tout que la libéralité de Frédéric aurait été jusque-là. Exhiber sa femme, d’accord, mais en être cocu, c’est autre chose. Du reste, ...
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