1. Matures au confessionnal (3)


    Datte: 26/04/2024, Catégories: fh, 2couples, couple, couplus, grosseins, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Oral préservati, fsodo, hdanus, échange, Partouze / Groupe confession, chronique, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... pourvu qu’il me fouille.
    
    — Tu es hyper chaude, je sens qu’on va bien baiser, m’a-t-il dit.
    
    Je l’ai regardé enfiler sa capote, sans se presser, et je l’attendais, coudes sur le drap, pointes de seins dressées, cuisses ouvertes. Et enfin, il est venu. J’étais baisée par le grand écrivain, moi, Nathalie, quarante balais, épouse et mère en rupture morale. Il a vite compris qu’il n’allait pas s’embêter. Plus il cognait et plus je remuais sous lui en clamant mon plaisir. Il demeura longtemps sur moi pour voir mes seins remuer sous ses assauts en les fixant du regard. Il faut dire que quand je fais l’amour, mes seins bougent beaucoup et Frédéric adore ça. Mais il adore encore plus quand je suis sur lui et j’ai donc chevauché M. X. qui, comme mon mari, m’a pétri les nichons pendant que je cavalais sur sa queue.
    
    Pendant un très court moment d’extase, j’ai cru que c’était Frédéric qui me pelotait, mais non, c’était la gloire littéraire nationale. Sans changer de position, je lui ai montré mon cul et il m’a mis le pouce dans le petit trou, ce qui m’a fait frissonner de la tête aux pieds. J’ai compris ce qu’il voulait. Alors, je me suis mise à quatre pattes, juste devant l’armoire à glace de la chambre, ce qui m’a permis de le voir me limer derrière moi avec une expression un peu crispée, mais aussi de me voir aussi dans cette scène surréelle : moi, baisée par M. X. De voir mes nichons s’agiter sous ses assauts l’a mis en transe et il est venu les saisir par dessous, ce qui m’a ...
    ... procuré un plaisir intense. Puis il est monté d’un étage, si j’ose dire. J’étais tellement open qu’il n’a pas eu beaucoup de mal à entrer et de sentir ses couilles battre contre ma peau m’a littéralement mise en transe. J’ai senti qu’il allait jouir et j’ai tortillé du croupion pour l’essorer, ce qui m’a fait jouir quasiment en même temps que lui. Et on s’est détachés.
    
    Après qu’on eut repris nos esprits, je n’ai pas pu m’empêcher de lui demander s’il sautait à chaque fois une femme dans ses virées promotionnelles. « Souvent, mais rarement d’aussi belles que toi », a-t-il répondu. Flatteur, mais peu crédible. Je n’allais quand même pas me plaindre. On a un peu discuté, mais il fallait absolument que je rentre. Mon téléphone, mis sur vibreur, s’était manifesté à plusieurs reprises pendant qu’on baisait. J’ai vite appelé Frédéric pour lui dire que je rentrai et que je m’excusai pour mon retard. Il était déjà minuit passé. Le post-coïtum risquait d’être mouvementé.
    
    Mon mari était évidemment au lit quand je suis arrivée. Malgré la douche à l’hôtel, je craignais qu’il y ait des traces de M. X. sur mon corps, même s’il n’avait pas ôté sa capote quand il avait joui. Alors, j’ai repris une douche. Et je me suis couchée dans le lit conjugal comme une bonne épouse après le boulot. Légèrement honteuse, mais immensément fière en même temps. Je savourais à l’avance la mine de mes collègues le lendemain. Quant à M. X., il m’oubliera vite, sauf peut-être quand il viendra présenter un ...
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