1. Le dépucelage de Béatrice


    Datte: 12/07/2019, Catégories: fh, hplusag, Oral pénétratio, Auteur: Isa13450, Source: Revebebe

    ... répit. Il se mit debout au bord du lit, j’observai son sexe, droit, extrêmement raide et tendu, il me parut énorme. Il attrapa ma main et m’invita à venir m’asseoir au bord du lit. Il se plaça debout devant moi entre mes jambes écartées. Son sexe au gland luisant n’est qu’à quelques centimètres de mon visage, je devinai la suite.
    
    — Place tes doigts autour de ma verge, voilà comme ça, forme un anneau, serre, monte et redescends, exactement comme tu m’as vu le faire. Oui, comme ça, lentement, attrape mes testicules dans ton autre main.
    
    Je l’ai masturbé ainsi un instant, avant qu’il recommence à parler :
    
    — Maintenant, lèche mon gland, passe ta langue ici, sur mon frein. Humm… lèche-moi avec le bout de ta langue, de bas en haut, oui lentement comma ça, c’est bon. Mmh…
    
    Son sexe laissait s’échapper un filet de sécrétion qui est venu se mélanger à ma salive sur le bout de ma langue.
    
    — Maintenant, suce-le. Oui, c’est ça. Suce ! Place tes dents tout autour. Ne mords pas ! Frappe-le avec le bout de ta langue. Oui, c’est ça. Plus vite ! Plus fort ! Oui, c’est bon.
    
    Je l’ai pris dans ma bouche, mes lèvres formaient un anneau que je faisais glisser de haut en bas, de bas en haut, de plus en plus profond, progressivement, jusqu’à ce que le gland bute au fond de ma gorge.
    
    Il a placé sa main fermement derrière ma tête pour me retenir collée à lui. Il s’est mis à onduler du bassin, son sexe pilonnait ma bouche. Il eut le souffle court, je compris qu’il allait jouir ! Ça ...
    ... y est, il gicla !
    
    Ma bouche abandonna sa queue toujours aussi raide, toujours aussi longue. Les lèvres serrées, conservant le jus précieux pour…
    
    Non, pas cela ! Non je ne vais tout de même pas le boire, l’avaler, faire couler dans ma gorge tout ce jus.
    
    Richard s’est approché pour m’embrasser d’un court baiser sur le bord de mes lèvres qui restaient serrées pour ne pas libérer sa semence.
    
    — Tu peux tout avaler, ma chérie ! Tu verras, c’est très bon.
    
    J’ai laissé ce liquide chaud et épais descendre dans ma gorge pour en arriver à la conclusion qu’il avait raison, ce n’est pas si mauvais.
    
    — Maintenant, allonge-toi sur le lit, ma chérie !
    
    Richard s’est allongé sur moi guidant son sexe devant mon entrée. Il a fait glisser lentement son gland dans ma grotte étroite, extrêmement serrée. Contrairement à mes craintes, je n’ai ressenti aucune douleur. Il est resté là comme ça un instant, juste le temps nécessaire à ce que mon sexe se détende et accepte cette présence.
    
    Il a poursuivi par une pénétration lente et totale de sa tige jusqu’à arriver en butée.
    
    C’était bon. Si bon. Il coulissait en moi. J’étais humide. J’étais chaude. Réceptive. Abandonnée. Et puis, je sentis la chaleur monter encore. Je transpirais de tous mes pores.
    
    Cela monte. Cela vient. Oh, mon dieu, est-ce que cela serait… ?
    
    Je jouis. Oui, je jouis. Un orgasme. Une vague terrible. Un tsunami. Je tremblais. J’étais effondrée, plus rien ne comptait que cette joie. La porte du paradis était ...
«12...5678»