Le dépucelage de Béatrice - Histoires de Sexe

Le dépucelage de Béatrice

... était là, elle observait cette scène sans rien dire, le sourire aux lèvres. Son attitude mettait en évidence son consentement à ce qui était en train de se passer. Richard poursuivit sa caresse en effleurant ma cuisse du bout de ses doigts, tantôt au plus haut de mon entrejambe en bordure de mon string, tantôt plus bas vers mon genou. Pour la première fois de ma vie, un homme me désirait, et c’est tellement bon de se sentir désirée. C’est ma mère qui a rompu le silence :

— Ma chérie, maintenant que tu es majeure, Richard se propose te faire devenir une vraie femme, si tu le souhaites bien entendu.

Pensez-vous que ce sont des choses qu’une mère puisse dire à sa fille ? Je me souviens encore de cette phrase lâchée ce jour-là, comme si c’était hier. Toujours tremblante, la gorge serrée, n’ayant jamais imaginé vivre un jour une telle situation, l’esprit perturbé au plus haut, j’ai tenté une réponse :

— Mais maman, tu… Enfin, c’est Richard…
— Justement, ma chérie, tu seras entre de bonnes mains, tu peux me croire.

Son consentement était donc plus que confirmé, mon bas-ventre bouillonnait, et si c’était maintenant, oui, maintenant que j’allais pouvoir vivre une première relation sexuelle. Sur cette pensée mon esprit se remémorait et voguait vers ces images pornographiques vues à l’écran, vers cette main qui masturbait le sexe de Richard devant ce porno, vers toutes ces soirées où je me suis caressée en imaginant être prise par un garçon.

Sans cesser ses caresses ...

... sur ma cuisse, Richard a approché ses lèvres de mon oreille pour me demander si je voulais bien que l’on aille dans ma chambre pour continuer. Je n’ai pas eu la force de répondre, j’ai simplement hoché la tête en avant pour exprimer mon accord. D’un geste en appuyant sa main sur ma hanche, il m’a fait comprendre qu’il était temps de nous lever pour poursuivre nos désirs dans l’intimité de ma chambre. Mes jambes faiblissaient, à la limite de me lâcher, la sensation d’excitation était extrême, dans quelques minutes, cet homme de trente-quatre ans mon aîné allait faire de moi une vraie femme.

Ma mère est restée dans le coin séjour pour regarder la télé, Richard a refermé la porte de ma chambre derrière nous. Je restais là, immobile, debout devant mon lit. Richard s’est collé contre moi, dans mon dos. Il m’a saisie par les hanches avant de me murmurer à l’oreille :

— Ça va ?

Je n’ai pas répondu, j’étais comme hypnotisée par ce qui était en train de se produire, ma respiration s’accélérait, un mélange d’angoisse et de désir m’envahissait.

— Détends-toi, je vais te donner le plaisir que tu mérites et que tu attends depuis si longtemps.

Debout contre moi dans mon dos, il a caressé mes hanches et mon ventre. Il avait les mains chaudes, son souffle dans mon cou était humide, sensuel. Il m’a mordillé une oreille avant de dégrafer mon soutien-gorge et de prendre mes seins à pleines mains en se frottant contre moi. Je me suis laissé faire. Il me caressait tendrement, puis il ...