Le dépucelage de Béatrice
Datte: 12/07/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
Oral
pénétratio,
Auteur: Isa13450, Source: Revebebe
... où les copines se vantaient de pouvoir collectionner les petits copains alors que moi, à seize ans passés, je n’avais toujours pas vécu mon premier baiser.
C’est donc pour cela que j’appréciais énormément ces moments où Richard jouait avec moi – en tout bien tout honneur, bien sûr ! Enfin quand je dis en tout bien tout honneur, ça, c’est ce que mon esprit de jeune fille naïve croyait en ce temps.
Je me souviens du jour de mes dix-sept ans, il faisait un soleil de plomb, le thermomètre dépassait les 30 degrés. Dans le petit jardin clôturé où était installé notre mobile-home, il y avait un tout petit bassin, un ancien lavoir de l’époque romaine qui était alimenté par une source naturelle. Ses dimensions ne permettaient pas de pouvoir y nager, mais nous pouvions tout de même l’utiliser pour nous rafraîchir et c’est ce que nous avons fait en ce dimanche de juillet, jour de mon anniversaire.
Je me souviens que ce jour-là nous avons fêté mon anniversaire tous les trois, Richard, ma mère et moi. L’ambiance était à la rigolade et comme souvent, Richard me taquinait, me chatouillait, me pinçait lorsque j’essayais de finir la dernière bouchée de mon gâteau d’anniversaire. Toujours pour s’amuser, Richard m’a finalement attrapée pour me jeter toute habillée dans l’eau du petit basin. Je dois dire que ce jour-là je m’amusais beaucoup, j’étais heureuse. Richard ne m’a pas laissé le temps de sortir du bassin, il s’est empressé de revenir armé du flacon de liquide vaisselle pour ...
... m’asperger de la tête au pied de ce savon gluant tout en criant ;
— Joyeux anniversaire !
— Merde, Richard, regarde dans l’état que tu m’as mis !
— Ah oui ! Je pense que tu peux enlever ton short et ton tee-shirt.
Naïve et n’y voyant rien d’autre que le jeu, je me suis mise en sous-vêtements pour continuer à jouer dans le bassin et me faire asperger de ce liquide savonneux. Quelques années plus tard, lorsque je me remémorais cette journée, la femme mûre que j’étais devenue réalisait à quel point cet homme avait dû prendre un plaisir sexuel à asperger une jeune paire de seins volumineux avec ce liquide savonneux et gluant.
Pendant les mois qui ont suivi cette journée, malgré un physique que je commençais à savoir mettre en valeur et une acné bien moins imposante, je n’avais toujours pas rencontré le garçon susceptible de me donner mon premier baiser et je vivais de plus en plus mal cette situation du haut de mes dix-sept ans.
D’autre part, certaines choses avaient changé chez nous cette année-là, notamment le week-end lorsque Richard était là avec nous. Étonnamment, alors que jusqu’ici Richard et ma mère avaient été assez discrets lors de leurs ébats sexuels, désormais, je les entendais systématiquement lorsqu’ils faisaient l’amour dans leur chambre qui était directement accolée à la mienne. J’entendais aussi bien leurs manifestations orales que le bruit de leur lit qui venait cogner contre la cloison de ma chambre. Bizarrement, à cette même période, ma mère m’avait ...