1. Le dépucelage de Béatrice


    Datte: 12/07/2019, Catégories: fh, hplusag, Oral pénétratio, Auteur: Isa13450, Source: Revebebe

    Avec le recul de mes cinquante-deux ans, et en y repensant, ma mère était tout de même une drôle de femme à cette époque !
    
    Mon père nous a abandonnées lorsque j’avais quatre ans, je n’ai que très peu de souvenirs de lui. À cette époque, nous habitions un tout petit village en Provence et lorsque monsieur le Maire du village a su qu’une mère de famille avec sa petite fille de quatre ans était sur le point de se retrouver sans toit, il n’a pas hésité une seule seconde pour nous trouver une solution.
    
    Un petit jardin communal équipé d’un mobile-home nous a été gracieusement mis à disposition. Monsieur le Maire a employé ma mère comme agent d’entretien à la ville et pendant les premières années, aucun loyer ne nous a était demandé. Nous devons beaucoup à cet homme qui a su nous sortir d’une situation des plus critiques.
    
    J’ai vécu dans ce lieu jusqu’à l’âge de mes vingt et un ans, ensuite j’ai connu Paul avec qui je me suis mariée. Rapidement après ma mise en ménage avec Paul, ma mère a, quant à elle, pu se loger un peu plus décemment dans un petit appartement du village qu’elle habite encore aujourd’hui.
    
    Voilà donc un rapide résumé de mon enfance, rentrons maintenant un peu plus dans le détail.
    
    Durant cette période difficile de notre vie, ma mère a eu plusieurs compagnons qui, à chaque fois, ne valaient pas mieux les uns que les autres. C’était systématiquement le même genre de gars, sans emploi, à la limite de se retrouver à la rue, qu’elle laissait s’installer à ...
    ... tour de rôle avec nous dans notre petit mobile-home. Le seul qui sortait un peu du lot, je dis bien un peu, c’était Richard.
    
    Richard, elle l’a connu lorsqu’il est venu travailler quelques jours en déplacement dans notre village pour faire l’entretien d’une machine un peu particulière de la mairie. J’avais déjà plus de seize ans lorsque Richard venait tous les week-ends s’installer chez nous pour voir ma mère. Évidemment, ma mère n’ayant pas le permis de conduire, c’est toujours lui qui faisait le déplacement des 150 km qui nous séparaient de son domicile pour venir nous rejoindre.
    
    Contrairement aux précédents partenaires de ma mère qui eux s’installaient des semaines entières chez nous et que ma présence semblait déranger, avec Richard c’était dès le départ différent, il a tout de suite été très sympathique avec moi, il s’intéressait à moi et j’appréciais beaucoup cet état d’esprit. À cet âge-là, sans être pour autant une grosse jeune fille, j’étais d’une corpulence frisant l’embonpoint, le visage marqué par une acné persistante, et je ne faisais pas l’unanimité auprès des garçons de mon âge. Étant de nature assez timide, et consciente de mon physique peu attirant pour les jeunes hommes, je pouvais compter sur le bout des doigts d’une seule de mes mains, le nombre de garçons qui acceptaient de bien vouloir me faire la bise pour me dire bonjour. Voilà à quoi se limitaient mes contacts avec le sexe opposé. J’aime autant vous dire que je vivais mal cette période de ma vie ...
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