Le dépucelage de Béatrice - Histoires de Sexe

Le dépucelage de Béatrice

... de ma discrétion. Richard a tourné sa tête dans ma direction, il m’a regardée en souriant et à ma plus grande surprise, au lieu de stopper sa masturbation, il a redirigé son regard vers l’écran en poursuivant sa propre caresse comme si ma présence ne le dérangeait pas. Figée, complètement hypnotisée par la poursuite de son action sur son membre et par sa réaction, il ne m’aura fallu que quelques secondes pour retrouver mes esprits et retourner dans ma chambre. Les week-ends suivants, je me suis bien gardée de sortir de ma chambre lorsque je savais que Richard était la nuit devant la télé.

En tout cas, il fallait bien l’admettre, ma libido et mon désir de me donner à un garçon ne cessaient de prendre de l’amplitude, mes soirées de semaine et de week-end étaient systématiquement animées de masturbations qui me faisaient monter à coup sûr jusqu’au ciel.

Après cet épisode, nos attitudes de l’un envers l’autre n’ont pas changé. Richard et moi nous n’avons jamais évoqué cette soirée où je l’ai observé en pleine masturbation. Nos rapports restaient très amicaux et se limitaient à cela, jusqu’à ce fameux jour de mes dix-huit ans où Richard me téléphone pour me souhaiter mon anniversaire en m’annonçant que ce week-end lorsqu’il sera là, il me fera un beau cadeau.

Et quel cadeau ! De la lingerie fine, noire et sexy. La présence de ma mère ne l’a pas gêné pour me demander de bien vouloir essayer mon cadeau devant eux. N’y voyant rien de mal, et ayant maintenant une certaine ...

... habitude d’être vue par Richard dans mon plus simple appareil, notamment lors de mes douches, je me suis dévêtue pour enfiler cette tenue des plus sexy avant de me dandiner devant eux.

Pour la première fois, je vis du désir dans les yeux de Richard lorsqu’il m’observa dans cette petite tenue et pour être complètement honnête, j’appréciai énormément cette sensation d’être désirée par un homme.

Contre toute attente, Richard m’a demandé de rester vêtue ainsi pour aller nous mettre à table, ce que j’ai accepté. L’espace et le mobilier étant assez étroits, comme à l’accoutumée, nous étions assis tous les trois sur la banquette entourant la petite table à manger, Richard s’étant installé entre ma mère et moi. Rigolades et blagues allaient bon train durant le repas, tout se passait comme d’habitude, jusqu’à ce que je sente une main de Richard se poser sur ma cuisse. Je l’ai immédiatement compris, cette fois il ne s’agissait pas d’une chatouille, d’un pincement pour me taquiner ou jouer avec moi, non, cette fois c’était autre chose, le contact était différent. Mes jambes se sont mises à trembler,

C’est fou comme une simple caresse sur le genou peut déclencher une myriade de petits frissons électriques comme si tout mon corps voulait être touché par lui. Sa main a d’abord fait le tour de mon genou avant que ses doigts ne se dirigent lentement en direction de mon entrejambe pour entrer en contact avec ce string qui recouvrait à peine mon sexe. Et ma mère ? Oui, ma mère, elle ...