1. Charlotte succombe


    Datte: 19/04/2024, Catégories: ff, caférestau, voyage, toilettes, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, caresses, intermast, Oral 69, init, journal, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Obligée d’avancer les fesses pour ne pas trop imprégner la chaise, j’ai laissé plusieurs fois une jolie trace mouillée sur son genou.
    
    De toute façon, les fruits de mer offraient assez d’odeur et d’humidité pour tout couvrir. Délicieux coquillages, moules, crevettes et oursins, aux chairs fragiles, couleurs corail aux goûts forts et iodés. J’adore ces parfums, comme je le lui ai dit, et aussi la charmante forme des moules juste avant qu’on les aspire dans sa bouche. Bon entraînement pour Charlotte, n’est-ce pas ? Deux bouteilles de délicieux vin blanc par-dessus m’ont rappelé l’expérience d’un vin très doux dans la foufoune. On fait couler un peu de vin dans la conque de son amie, il se mélange à sa cyprine et on boit entre ses lèvres. Hum ! Chaque mélange est différent.
    
    À la fin des plateaux, nous nous faisions goûter réciproquement les derniers fruits de mer. Un peu pompettes et absolument inconnues dans ces lieux l’une et l’autre, il nous était facile d’échanger des mots équivoques, et de nous lécher le bout des doigts afin de ne rien perdre du jus de la moule… Bref, le resto n’est pas donné, mais ce fut une vraie fête pour chacune et je lui devais bien ça en remerciement.
    
    Bien sûr, après ça impossible pour elle ou moi de faire plus de deux heures de route pour rentrer dans la nuit, avec le risque de contravention en plus, vu notre état. Donc, coup de fil au mari pour avertir qu’elle restait jusqu’au lendemain. C’est bien passé : monsieur se consolait de la ...
    ... défaite de son favori dans ce match si important. Il était avec ses copains, pas fâché je crois de prolonger cette « consolation ». Nous avions toute latitude de nous organiser jusqu’au lendemain.
    
    Imaginez deux femmes, qui ne sont plus des gamines, devant leurs verres vides, pompettes et énervées, se levant en équilibre précaire pour satisfaire le besoin pressant d’évacuer un trop plein de liquide. La traversée de la salle a été maîtrisée, non sans quelques pas incertains.
    
    La loge « toilettes dame » était libre. Nous nous y sommes succédées pour un gros pissou libératoire. Sans culotte, j’avais un avantage. En sortant, je lui ai dit que je lui laissais la place toute chaude et je lui ai fait un gros bisou. Un bisou au coin des lèvres, l’air de rien, en la serrant contre moi, un bras autour de la taille, avec la main qui glisse un peu… La pauvre, elle se tenait le ventre de peur de faire trois gouttes dans sa culotte, mais elle m’a imitée, d’un petit geste retenu au souvenir de ma peau nue sous la jupe, puis elle m’a tapotée les fesses en pouffant : « coquine ! ».
    
    Je l’ai attendue en me recoiffant. J’entendais sa cascade… Elle a été un peu surprise et vaguement gênée en sortant, puis nous avons échangé un rire complice. Je l’ai remerciée pour cette soirée avec elle, elle en a fait autant. Je lui ai dit que me sentais heureuse en sa compagnie. On s’est encore embrassées. Et cette fois j’ai effleuré sa bouche alors qu’elle me répondait qu’elle aussi se sentait à l’aise avec ...
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