Charlotte succombe
Datte: 19/04/2024,
Catégories:
ff,
caférestau,
voyage,
toilettes,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
odeurs,
caresses,
intermast,
Oral
69,
init,
journal,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... obligatoire ! Eh oui, nous n’allions pas sortir comme ça, tout de même. Donc, striptease intégral des deux dames amusées, excitées, mouillées, et finalement sans pudeur. Moi ouvrant ma founepour qu’elle y dirige le jet, et elle osant faire pareil, avec son gros bouton tout tendu, si tentant. J’ai dû me retenir pour ne pas le toucher, c’est vrai. Savonnage mutuel aussi – il faut savoir s’entraider ! – mais sans aller jusqu’à savonner la minette ou le petit trou. Juste le dos, les fesses, et par contagion un peu les seins et le pubis. Je brûlais de coincer furtivement son clito entre deux doigts, mais je ne voulais pas la brusquer.
Déjà, me laver la chatte devant elle a entraîné un petit mouvement de recul et le détournement instinctif de son regard. Mais elle s’est vite reprise, sans rougir de voir mes lèvres gonflées ni de me voir tirailler mes nymphes et retrousser mon capuchon pour une toilette soigneuse. Elle s’est livrée à la même auto inspection attentive tandis que j’accentuais le mouvement pour une petite branlette anodine. Elle m’a observée sans ciller, avant de se sentir obligée de faire pareil pour ne pas passer pour une idiote. J’ai trouvé que c’était déjà un grand pas de sa part et une belle preuve qu’elle se sentait bien avec moi. Nous ne sommes pas allées jusqu’à jouir, non. Le rinçage a simplement été un peu plus long et plus appliqué.
Mais une fois proprettes, et redevenues correctes, nous nous sommes trouvées devant un problème : les soutiens gorges ...
... avaient souffert de la transpiration, et les culottes d’une autre sorte de sueur. Impossible de les laver et les sécher avant de sortir. Heureusement, j’ai retrouvé un de mes ensembles qui traînait par-là, mais un soutif et un slip, pas deux. Non, coquines, nous n’avons pas tiré au sort celle qui les porterait, nous avons partagé. Elle a pris le bas, qui lui allait à peu près, et moi le haut. Elle n’a pas vraiment besoin de soutien-gorge, moins que moi en tout cas ! Par contre, la culotte la serrait un peu par devant, côtéclicli et babines. Nous sommes parties, bras dessus bras dessous, serrées sous le parapluie, moi la chatte libre et la sienne comprimée, vers le restaurant.
On nous a installées autour d’une minuscule table, dite pour deux. Tout le reste était plein, comme il se doit, un samedi, dans un resto réputé. Assises face à face, les jambes entremêlées par force, nos genoux entre nos cuisses, au moins pouvions-nous nous entendre parler, seul le plateau de coquillages nous séparait ! Très agréable repas, vraiment, que nous avons dégusté un peu embarrassées au début du contact de nos cuisses, mais nous en inquiétant de moins en moins au fil des verres de Picpoul…
Elle sentait que son genou frôlait ma chatte nue, sous ma jupe. Je savais le mien tout près de sonclicli voilé. Inévitablement, nous nous sommes serrés mutuellement les cuisses lorsqu’un mot nous faisait rire en devisant de choses et d’autres, et nos pieds se caressaient à chaque mouvement des jambes. ...