1. Madame d'Engrisy


    Datte: 17/04/2024, Catégories: fh, fagée, jeunes, grossexe, jardin, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, historiqu, Auteur: Marchandisidore, Source: Revebebe

    ... des deux lobes de chair blanche qui était devant lui, mettant en évidence une vulve rose pâle dont les lèvres pendaient un peu. L’épais gland essaya de se frayer un chemin dans ces peaux, mais sans succès. Prenant les choses en main, l’homme se mit à genoux et, écartant maintenant les deux lobes qui se trouvaient devant lui, y fourra sa langue le plus profondément possible. La marquise poussa un petit cri de surprise feinte puis profita de cette mise en bouche, tandis que, médusée, Jeanne ne revenait pas de ce qu’elle voyait. Cette vieille peau de Madame la Marquise ! Elle observait cette vulve pendante qui se trouvait sous une large rondelle de bronze : la langue de son rustique amant ne faisant pas le détail ni le difficile, parcourant allégrement toute la zone.
    
    Jugeant le traitement suffisant, il se releva ; ajusta son énorme gland contre les lèvres ouvertes et d’un coup s’y enfonça. Jeanne crut ressentir en son ventre le membre viril. Contre toute attente, cette scène l’excitait, et son sexe semblait lui aussi réclamer sa part. L’homme donnait à grands coups de boutoir dans ce corps frêle qui gémissait à n’en plus finir. À chaque fois qu’il enfonçait son énorme membre, on pouvait voir la grosseur de la verge lui déformer l’anus et le bas ventre au passage. Elle semblait aimer ça et en redemandait. Hypnotisée, Jeanne regardait les imposants battants de cloches de ce monsieur taper en cadence dans un rythme de plus en plus soutenu. Elle aurait voulu à cet instant les ...
    ... caresser, les soupeser, en vérifier la douceur, elle se prenait d’affection pour ces grosses bourses.
    
    Soudain, il attrapa la Marquise par les hanches et poussant un râle donna un violent coup de reins en avant. Ce mouvement coïncida avec la remontée de ses couilles, découvrant une vulve écartelée et bourrée à fond. Alors, un flot de sperme se répandit en elle, chaud, épais. Une première salve, puis une deuxième, l’homme un instant se raidit, contracta les fesses, puis sortit de la marquise d’un coup : Jeanne vit alors un gros parquet de liquide blanchâtre sortir du vagin de la marquise qui n’était plus qu’un trou béant aux dimensions du mandrin qui l’avait visité. Seul l’œil de bronze qui palpitait juste dessus était en mesure de se refermer, profitant des derniers spasmes que son corps lui procurait encore.
    
    Elle était étendue là, genoux fléchis, toujours étalée contre la petite table de bois brut pendant que lui, prenant le petit porte-monnaie, se servit de ce qu’il y avait à l’intérieur, le reposa, sortit et claqua la porte.
    
    Sans un mot, la marquise prit un mouchoir, tenta d’essuyer le foutre qui coulait le long de ses jambes, remit un peu d’ordre à sa coiffure et récupéra le porte-monnaie. Après quelques instants, Madame d’Engrisy repartit à son tour, un peu chancelante.
    
    Jeanne, toute coite de ce qu’elle venait de voir, resta encore quelques instants dans son coffre pour ne pas se faire prendre – dans tous les sens du terme – par le propriétaire des lieux. Mais ...