1. Madame d'Engrisy


    Datte: 17/04/2024, Catégories: fh, fagée, jeunes, grossexe, jardin, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, historiqu, Auteur: Marchandisidore, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent :
    
    Envoyée par sa mère en villégiature, Jeanne vient de faire un long voyage. Son escale au relais de poste lui fait connaître un groom assez entreprenant, avec lequel elle s’adonne à un jeu d’exhibition que la morale pourrait réprouver.
    
    Depuis son arrivée, on pouvait dire que sa nouvelle vie de petite châtelaine se passait fort agréablement. Ses cousines qui prenaient grand soin d’elle se plaisaient chaque jour à organiser les distractions ; son quotidien était fait de parties de dames, de croquet et autres promenades dans le parc. Les gens de maison, dévoués, menaient leur train, animant le domaine de leur présence bienveillante : des demoiselles de chambre aux jardiniers, chacun connaissait sa tâche et s’y affairait avec calme et discrétion. Il lui arrivait de veiller tard dans la soirée, surtout quand après le dîner on passait au salon de musique. Là trônait un magnifique demi-queue décoré dans les tons or, rose et blanc par le très en vogue Robert Kammerer. L’odeur du velours cramoisi des fauteuils empire se mêlait subtilement à celles des lourdes pivoines de juillet débordant de leurs grands vases en pâte de verre multicolore. Quand elle se mettait au clavier, l’admiration de ses cousines était sans borne. Elle avait reçu à Paris une excellente éducation musicale auprès des meilleurs professeurs, lui permettant de déchiffrer tour à tour les partitions qu’on lui tendait. Ainsi dans le soir résonnaient Chopin et Schubert depuis les ...
    ... grandes fenêtres entrouvertes donnant sur les jardins.
    
    Chaque matin, Jeanne, toute joyeuse et impatiente, ouvrait les grands volets intérieurs de sa chambre dont les contours de lumière indiquaient qu’un nouveau jour commençait. Du haut de sa fenêtre, que le domaine paraissait grand ! D’abord, elle avait vue sur la terrasse de gravier blanc d’où, sous la tonnelle à l’ombre de la végétation, sortaient les rires et éclats de voix de Mesdemoiselles, ses cousines, prenant leur petit-déjeuner. Elle regardait les jardins, elle regardait les petites allées de buis bien taillés, dessinant d’un vert profond de capricieuses volutes féminines enlaçant des bassins et de hauts buissons pointant vers le ciel. Plus loin encore, sur le côté, un joli verger promettait des gourmandises à celui qui y ferait promenade, des fruits d’été n’en pouvant plus de sucre pendaient lourdement sur leurs candélabres. Jeanne pensa à ses lectures de chevet, et se demanda si le tapis de pâquerette qui parcourait ces allées d’arbustes avait été lui aussi le théâtre d’épanchements amoureux. Au loin, le parc s’ouvrait sur une prairie allant jusqu’à la lisière d’un bois. Tout cela formait un tableau charmant où les personnages qui s’y trouvaient s’affairaient à leurs occupations. Du jardinier arrosant son parterre de fleurs, au berger conduisant son troupeau de brebis, tous avaient des airs de sujets miniatures.
    
    Parmi les invités du château, Jeanne avait remarqué que, du haut de ses observations matinales, Madame ...
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