1. Madame d'Engrisy


    Datte: 17/04/2024, Catégories: fh, fagée, jeunes, grossexe, jardin, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, historiqu, Auteur: Marchandisidore, Source: Revebebe

    ... leurs croupes. L’odeur du crottin chauffé au premier rayon du soleil embaume l’air.
    
    Jeanne pénètre dans le pavillon. Il s’y trouve beaucoup d’objets de jardinage comme des arrosoirs et divers râteaux, mais aussi du matériel pour l’entretien des chevaux. Deux chaises sont sorties devant une petite table, un gros coffre à vêtement s’adosse à l’arrière de la pièce. Soudain, elle entend une voix au-dehors : « Jacquot ? » « Jacquot ? ». Jeanne, sans réfléchir, se précipite dans le coffre et le referme. « Jacquot ? » « Jacquot ? ». Un aboiement de chien répond. La porte grince et s’ouvre.
    
    Le vieux coffre de bois est suffisamment vermoulu et ajouré pour que Jeanne, confortablement installée sur ce qu’il renferme, profite d’un point d’observation idéal. Madame d’Engrisy se tient là, debout, au centre de la pièce, les poings sur les hanches ; elle semble attendre quelque chose d’autre que le chien roux qui batifole de la queue autour d’elle. Son attente ne fut pas longue, car soudain apparut dans l’encadrure de la porte une large silhouette d’homme. Une cinquantaine d’années, taillé à la hache, un épais chapeau de cuir sur la tête. À pas lourds, il s’approche d’elle. Il pose d’abord son chapeau sur la table, découvrant un visage tanné par le soleil, les lèvres épaisses, mais le regard contrastant par sa clarté.
    
    — Alors Jacquot, que faisiez-vous ? Vous savez que j’ai des choses à faire, moi. Ne me faites pas attendre chaque fois !
    — Vous aviez pensé â mon p’tit cadeau ? ...
    ... répondit le rustre. La dame de rang posa sur la table un petit porte-monnaie de tissu fleuri qui avait l’air de contenir quelques pièces.
    
    Le Jacquot mit ses grosses mains autour de sa taille et la retourna dans un mouvement qui ne souffrait pas de contestation. D’autorité, il la fit pencher en avant à plat contre la table. Et d’un geste, il retroussa les tissus de sa robe jusque sur son dos, de sorte à dénuder complètement son postérieur. Jeanne n’en revenait pas ! Cette Madame de Marquise, dans cette position, elle qui faisait des leçons, la voilà, fesses à l’air, cuisses écartées, qui attendait la suite de son traitement pendant que le gardien de chevaux défaisait lentement la boucle de son ceinturon. Son pantalon tomba à ses chevilles, dévoilant des fesses petites et musclées qui contrastaient avec ses larges épaules. Ses bras aux biceps développés témoignaient de l’effort du travail des champs.
    
    Jeanne retenait sa respiration. Un mélange de crainte et d’excitation la saisit. L’homme se retourna : il tenait dans sa main droite un sexe énorme. Jamais elle ne pensa qu’il en fût de si gros. Il sortait d’une masse abondante de poils bruns. Quoique disproportionné de par sa taille, sa forme en était plus que classique et son extrémité dure, violacée et particulièrement charnue lui faisait penser à un gros pommeau.
    
    Comment cet engin allait-il pouvoir entrer ? Pendant que Jeanne se posait cette question purement technique, l’homme écarta à l’aide de sa grosse main gauche un ...