1. Madame d'Engrisy


    Datte: 17/04/2024, Catégories: fh, fagée, jeunes, grossexe, jardin, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, historiqu, Auteur: Marchandisidore, Source: Revebebe

    ... la Marquise d’Engrisy, épouse de Monsieur le Marquis d’Engrisy, revenait toujours seule de promenade vers dix heures. Cette femme, sœur aînée de Madame la Comtesse de Culigny, invitée régulièrement en son domaine, ne plaisait guère à Jeanne. D’un âge avancé, la sécheresse de son caractère lui donnait un air sentencieux et sévère. Ses cheveux poivre et sel, sa taille maigre, son ton cassant semblaient désapprouver les amusements auxquels elle se livrait avec ses cousines. Il était bien logique que Monsieur le Marquis d’Engrisy, homme d’importance, passât le plus clair de son temps au cabinet de lecture plutôt qu’auprès de sa désagréable épouse. « Paresse est mère d’oisiveté » tançait souvent cette dernière lorsque Jeanne paraissait à sa fenêtre à des heures matinales tardives. À chaque fois, Jeanne devait prendre sur elle pour ne pas répondre à cette langue serpentine.
    
    Elle avait bien remarqué chaque matin son régulier retour de promenade, bouquet de marguerites en main et accompagnée d’un curieux chien à poil roux. Mais ce qui l’intriguait le plus était de la voir à chaque fois revenir de l’ornière du bois alors même que le potager à fleurs se trouvait à l’opposé de cette direction. Jeanne entreprit de lever ce mystère, et questionna ses cousines sur ce qui se trouvait de ce côté-ci du domaine :
    
    — Juste une vielle cabane, avec je crois, quelques chevaux, je n’y suis jamais allée, lui répondit sa cousine Liliane.
    — Pourquoi veux-tu savoir cela ? s’inquiéta vivement ...
    ... Berthe.
    — Mes chéries ! Le domaine est si grand que déjà je dois faire attention à ne pas me perdre en allant au verger ! Je ne me risquerai même pas à aller jusqu’au bout de la prairie ! leur répondit Jeanne afin de les rassurer.
    
    Le lendemain matin, Jeanne décida de devancer la vielle grincheuse dans sa promenade, espérant lever le mystère de son curieux détour. Se levant, une fois n’est pas coutume, dès l’aurore, elle n’eut par ailleurs aucun mérite à cela, car Mercure donne des ailes à ceux qui font tous types de commerces illicites ; rapidité et discrétion. Elle sortit de son sommeil, s’habilla simplement et, le pied léger, partit discrètement comme une voleuse.
    
    Déjà, le ciel bleu nuit s’éclaircit peu à peu aux feux rougis de l’horizon qui s’étale par delà les arbres. Il fait frais. Quelques oiseaux chantent leur premier chant, peu à peu la nature s’éveille au fur et à mesure qu’elle progresse dans le bois. Elle tremble un peu. L’haleine de la forêt se fait de plus en plus présente. Que fait-elle ? Seule sur ce sentier ? Peut-être, est-il encore temps de rebrousser chemin ? Elle risquerait de croiser Madame d’Engrisy…
    
    Bientôt, elle arrive à une clairière. Verte d’herbe. Tout du long, coule une rivière. Il y a une maisonnette, ou plutôt un petit pavillon de bois assez coquet,rien à voir avec la méchante cabane dont m’avait parlé ma cousine Berthe, se dit-elle. Il y a le bruit de l’eau et quelques chevaux. Ils broutent en faisant par instant tressaillir la peau de ...
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