Voilà pourquoi
Datte: 15/04/2024,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
extracon,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
jalousie,
contrainte,
dispute,
BDSM / Fétichisme
entreseins,
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
uro,
gifle,
fouetfesse,
confession,
occasion,
extraconj,
Auteur: Landeline-Rose Redinger, Source: Revebebe
... chaud que j’avalai comme un lait bénéfique. Je n’avais pas souvenir qu’un homme puisse gicler si régulièrement et si longtemps.
Juan qui n’avait encore pas pénétré mon sexe passa son gland luisant sur mes seins. Je le malaxai comme une pâte à modeler. Juan était fou et plus rien dans notre trio ne contrôlait personne. Juan me retira violemment de Roberto et m’envoya une gifle monumentale qui me fit tressaillir. Je me relevai, le goût de fer d’un filet de sang qui filait au bord de ma lèvre se mélangea au jus du sexe de Juan que j’avais repris dans ma bouche. Cette brûlure-là était un délicieux supplice. Je passai ma langue sur le bord sanguinolent de mes lèvres et crachai sur le gland de Juan. Son jus gicla sur mon visage, dans mes yeux, je le fis glisser sur ma langue comme un sirupeux laitage. Puis je me dirigeai vers la baie vitrée, laissant ouvertes largement mes cuisses. Tour à tour, les deux hommes sucèrent mon sexe et mon cul. Je me cambrai et chacun, dans un rythme rapide, m’encula, l’un laissant la place à l’autre et inversement.
Je tendis mon cul réclamant qu’on prît une ceinture pour me battre. Juan et Roberto me cinglaient avec un déchaînement tel que je ne sentais plus rien des coups qui s’abattaient sur mon cul. Je tombai à genoux, les larmes inondèrent mon visage. Je réclamai leurs queues, leurs queues entre mes seins. Juan jouait un merveilleux jeu de piston, Roberto manquait un peu de longueur. Je m’allongeai sur la dalle froide et tandis que Juan ...
... fouaillait mon cul et ma chatte, Roberto chevauchait mon visage en laissant sa queue dans ma bouche.
Mon corps malmené retrouvait les aléas et les chemins tortueux qu’il avait jadis connus. Ils étaient faits pour la brisure, ces trous étaient des meurtrières. Je m’épanouissais dans le chaos.
Toujours en petits jets spasmodiques, Roberto imbibait ma bouche. Son jus était épais, pâteux, presque, je le déglutissais comme une difficile mayonnaise. Le recrachant de temps à autre pour m’en enduire les seins. On entendait ce bruit si particulier des mains qui branlaient, des queues qui fourraient, des râles unis des hommes quand mes cris variaient de tempo selon qu’on m’enculait avec vigueur qu’on me fourrait avec colère ou dans un creux de vague plus harmonieux.
— Vas-y, Roberto, jute-lui dans la gueule à cette chienne !
— J’ai plus d’jus, plus rien, elle m’a tout pompé, cette grosse pute.
— Alors t’as tout pris, salope ! hurlait Juan en me retournant brusquement. Puis il frappait à nouveau mon cul de claques sèches.
Je pleurais, je suppliais, encore, encore…
Juan avait rejoint ma bouche claquant durement son sexe contre mes lèvres. Il la forçait de ses couilles flasques et longues.
— Je vais venir, je vais venir, hurlait-il.
— J’ai plus rien, j’peux même plus l’enculer, cette pouffiasse.
— Alors, pisse-lui dessus, ordonna Juan.
En cohorte folle, notre machine multiple semblait avancer dans la pièce. Juan n’en finissait plus de beugler en lâchant dans ma bouche, ...