1. Voilà pourquoi


    Datte: 15/04/2024, Catégories: fh, fhh, couple, extracon, fsoumise, hdomine, humilié(e), jalousie, contrainte, dispute, BDSM / Fétichisme entreseins, facial, Oral pénétratio, fsodo, coprolalie, uro, gifle, fouetfesse, confession, occasion, extraconj, Auteur: Landeline-Rose Redinger, Source: Revebebe

    ... sérénité. J’avais mis mon portable en silencieux, et devant la baie vitrée, je regardais au loin le 4X4 du petit porc et son ami le grand mince, qui montait jusqu’à moi. Même les battements de mon cœur rythmaient le temps avec régularité et quiétude.
    
    Lorsqu’ils entrèrent, le petit gros eut un hoquet et rougit un peu tandis que son ami eut subitement le front humide. On me donna du « Madame des Bois », quelque chose entre la déférence, l’envie et la peur.
    
    Assise sur un grand canapé d’angle devant une table basse, je fis parapher les documents par Roberto. Je ne lui proposai pas une nouvelle visite, il aurait bien l’heur de parcourir chaque pièce après. Sa main tremblait un peu. Le grand mince ne parlait pas. Je sentis que mon talent opérait. Quand les premiers documents furent signés, je donnai quelques explications pour le prochain rendez-vous en l’Étude de Maître Burdeau et le silence se fit.
    
    — Alors, Roberto, fis-je, vous pensez toujours que je suis une chienne ?
    — Pardonnez, pardonnez fit le grand, il est vraiment vraiment con.
    — Eh bien, si je suis une chienne alors, baisez-moi, voilà. Qui commence ?
    
    Le malaise était à son comble du côté masculin. J’avais deux statues devant moi. Je laissai tomber mon manteau, remontai ma jupe.
    
    — Vas-y, Roberto, fourre ta queue dans la chienne, dis-je.
    
    J’entendis le froissement d’un tissu qui tombait et Roberto entra sa queue dans mon cul.
    
    — Je t’avais bien dit que je les flairais, les salopes, fit-il en giclant ...
    ... par petites saccades dans mon cul.
    
    En appui sur le dossier du canapé, j’appelai le grand mince qui se dégrafa et fourra dans ma bouche un sexe long et fin au gland pointu.
    
    À chaque coup de bite qu’il envoyait dans mon cul, Roberto semblait accompagner son mouvement de petites giclées de sperme. Son ventre heurtait mes fesses. Je jouis pareillement à ce que j’avais connu dans l’habitacle de ma voiture sous la pluie. Je laissai les deux hommes mener la danse et Roberto, égal à lui-même, me sortit la panoplie complète, mais efficace, du vocabulaire ordurier.
    
    — Dis-lui, Juan, dis-lui que c’est une salope !
    — T’es une salope, répéta Juan.
    — Une sale pute !
    — T’es une sale pute ! fit l’autre.
    
    Puis Juan prit de l’assurance… empoignant mes cheveux, il accéléra le tempo de sa queue dans ma bouche.
    
    — Dis-le, grosse chienne, que tu l’aimes ma queue ! dis-le !
    — Ah oui, elle est bonne, criai-je en prenant une respiration avant de sucer ses couilles.
    
    Puis Juan tendit son engin devant moi, engorgeant son gland jusqu’au fond de ma gorge.
    
    — Baffe-lui les fesses, dit-il à Roberto. Elle aime ça, cette pute, c’est sûr.
    
    Une pluie de claques sèches s’abattit sur mon cul. Ce mal-là revenait de si loin, il me revenait comme un ennemi qu’on chérit.
    
    Je voulus sucer Roberto. Sa queue était trapue, courte, au gland robuste. Ses couilles rondes et en paquet entrèrent aisément dans ma bouche. Mes lèvres recouvrirent entièrement son sexe, et Roberto m’inonda d’un jus presque ...
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