Douches, toilettes, et plus si…
Datte: 12/04/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
fist,
fdanus,
uro,
lesbos,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... palpitent. Je vais jouir sur la main de Marie. Même mon petit trou palpite. Elle doit le voir, il l’appelle. Si elle voulait… Oui ! Son doigt dans mon cul !Oui, oui, je… je jouiiiiiiiiis !
Je jouis et je vibre. Le gant heurte le col, je jouis. La main de Marie remue dans mon con, je jouis. Je me cambre, je jouis. J’agrippe les épaules d’Anaïs, je jouis. Je prends sa bouche, je… je l’embrasse, mon orgasme culmine sur les lèvres d’Anaïs. Mes muscles se détendent, elle me soutient sans quitter mes lèvres. Son souffle me ranime.
Quelqu’un a dénoué son peignoir – Janine évidemment – ses épaules nues sont douces et tièdes sous mes paumes. Je reprends haleine pour embrasser son cou, je veux respirer le parfum de sa peau… Un nouveau volcan explose dans mon ventre. Le gant se retire, la main de Marie abandonne mon con. Mon vagin les retient, je veux encore en jouir. Leur retrait me blesse et le cœur et le corps. Le crin sec râpait pour entrer. Mouillé, il râpe encore pour sortir. Qu’importe la douleur, mes muqueuses n’en ont cure ! Le besoin de jouir encore est trop fort.
Je suis vide… Je ressens le vide de ma chatte, l’orgasme l’a laissée orpheline. Mon ventre est vide, mon esprit est vide, mon corps est vide, vide et lourd, lourd comme un cheval mort – oui, je sais, mais on ne peut mieux dire. Je m’effondrerais sans les bras qui me tiennent, et qui doivent lutter pour me maintenir. Malgré leur aide, je m’affaisse. Ma joue glisse sur la gorge d’Anaïs, sa gorge humide et ...
... chaude à la si fraîche odeur. Ma joue rencontre un sein, ma bouche s’y ventouse comme un noyé s’agrippe à son espar.
J’enlace Anaïs, je tète Anaïs. Je sens sur mes bras le corps de Janine, je sens sous ma langue le téton d’Anaïs. Tout dur, elle me l’offre en caressant mes cheveux.
J’aspire un mamelon et on masse mon con. Les doigts de Marie, ceux de Colette aussi sans doute, étalent le surplus de cyprine qui sourd de ma fente, en pétrissent doucement mes lèvres enflammées, en câlinent précautionneusement mon bouton exacerbé, en enduisent mon périnée, en tartinent mon sillon et mon petit trou.
Sucer un sein et être cajolée au minou, il n’y a pas meilleure thérapie pour revenir à la vie. Je suis épuisée et heureuse, j’ai envie d’embrasser celles qui m’ont ravie et celles qui les ont aidées. Je rechigne à quitter les seins de ma bouée, toute nue maintenant. Mais il le faut pourtant, les doigts qui me massaient ont bien quitté ma vulve. Je me redresse, seule, et je me découvre couverte de sueur, les seins mouillés, les cuisses maculées de cyprine. Quant au reste…
— Pardon, Maîtresses, dis-je à Colette et Marie. Il faut tout recommencer !
Un grand éclat de rire me dispense de continuer. Andréa et Martine accompagnent ma sortie du tub. Je titube un peu. Colette me regarde.
— Je crois qu’il est trop tard pour une autre séance, ma chère Chantal, sourit-elle. J’avais prévu de vous offrir un tour à cheval, mais vous expérimenterez cela une autre fois.
Elle désigne le ...