1. Douches, toilettes, et plus si…


    Datte: 12/04/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, douche, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, fist, fdanus, uro, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... reconnais le frais parfum qui émane de ce corps : Anaïs !
    
    Je m’abandonne contre elle. Je préférerais avoir sa peau sous mon nez plutôt que son fin peignoir. Tant pis, je me fais une raison. Si je dois pleurer, je pleurerai quand même dans son giron. Un petit réconfort !
    
    Je suis fermement maintenue, je peux me laisser aller, ne penser à rien d’autre qu’à l’odeur d'Anaïs. Essayer, en tout cas, pendant que des rires et des moqueries se croisent au-dessus de moi dans une attente qui s’éternise et relance mon appréhension.
    
    Sursaut ! On touche mes fesses, on les écarte. Précis et résolus, les doigts ouvrent le sillon, les pouces élargissent le sexe. Les mains de Colette, à n’en pas douter. Voix de Colette aussi, dure et méprisante.
    
    — Détends-toi, idiote ! Ne sois pas si peureuse !
    
    Je voudrais bien, mes muscles s’y refusent. Oui, j’ai peur. En dépit de ma volonté, du désir que j’en ai, mon ventre s’oppose à cette intromission. Je suis tétanisée des pieds à la tête, mes oreilles bourdonnent. J’entends confusément des commentaires, amusés ou salaces. Je devine qu’ils visent mon œillet. Oui, lui aussi est crispé !
    
    D’autres échanges à mon sujet, Janine dit quelque chose que je ne saisis pas… Surprise ! Mes seins sont caressés. Timidement d’abord, de petits frôlements qui me font un bien fou. Ils se précisent, me massent et m’apaisent. Mes globes sont pressés, mes pointes cajolées. Des doigts tendres et doux, d’Anaïs c’est certain, qui m’aident à oublier ceux qui ...
    ... prennent mon cul. Que c’est bon…
    
    — AAAAH !
    
    Mille épines me transpercent la vulve. Mes muqueuses se révoltent contre leur agression, mais elles progressent. Elles refoulent mes petites lèvres, m’envahissent, me distendent, me piquent de l’intérieur. Je crie et je pleure. La douleur me vrille quand le crin racle l’entrée de mon vagin pourtant bien lubrifiée qui se resserre par réflexe. Tout s’arrête. Mon con bat et se calme. Répit et apaisement malgré l’ampleur de la pénétration. Mon sexe s’y habitue, ou ma mouille a dompté l’agresseur.
    
    — Aaaah !
    
    Une souffrance nouvelle se superpose à l’endolorissement qui s’atténuait. Sensation qu’une nymphe me quitte. Non, je délire. Mais on l’étire, ça oui ! L’autre aussi. Aie !
    
    — Ça coince, sinon. Ne bouge pas, m’intime Marie.
    
    Ben voyons ! Est-elle pour autant obligée d’utiliser ses ongles ?
    
    La progression reprend, très lentement, inexorablement. Elle me remplit. Mes parois vaginales font ce qu’elles peuvent pour l’accueillir. Elles l’absorbent, la noient de cyprine. Mon clitoris clame son excitation. Je suis comblée. Tout mon corps est comblé. Je n’ai plus mal, je ne pense pas à m’en étonner, mon esprit est pris tout entier par la jouissance qui monte. La peur n’était que l’idée que je m’en faisais. Je ne suis qu’un sexe exalté concentré sur le gant dans la main de Marie…
    
    Une pause ? J’en suis presque frustrée. Non, elle est au bout, le gant est au fond de moi. Je palpite, mon sexe palpite, mon ventre palpite, mes seins ...