1. Douches, toilettes, et plus si…


    Datte: 12/04/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, douche, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, fist, fdanus, uro, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Séjournant avec sa jeune amante Marie, chez son initiatrice en compagnie des amies de celle-ci, Chantal a tiré la mauvaise carte et commencé de remplir ses devoirs de soumise.
    
    Colette avait raison. J’ai séché en marchant. Comme ont séché aussi les croûtes de poussière, mêlée aux divers liquides reçus, maculant mon corps nu qui diffusait encore des arômes douteux.
    
    Le chemin du retour m’a été long et pénible. Lasse de fatigue et de jouissance, je remâchais ma honte de prendre du plaisir à être humiliée et ma frustration de ne pas en être punie par Colette. Pire, la consigne de devoir en pénitence me soumettre à Marie me mortifiait moins que le chagrin de me croire méprisée et trahie par celle-ci.
    
    Ce qui m’attendait dans le jardin n’a pas mis un terme à ces amères pensées. Notre hôtesse en tête, mes compagnes ont eu l’idée lumineuse de conjuguer lessive et toilette. Interdiction pour moi, par contre, de me débarbouiller. Mon rôle était de tenir le jet d’eau et d’asperger ces dames dans leurs tuniques moins immaculées qu’au départ. Une variante du concours de tee-shirts mouillés que n’auraient pas désavouée les organisateurs du genre.
    
    Une occasion pour moi, je mentirais en l’occultant, de comparer à nouveau la variété des poitrines qui m’étaient présentées. Des pointes agressives d'Anaïs à l’abondance lourde d'Andréa en passant par les oranges de Martine et les pomelos de Marie, j’avais un bel éventail de formes prêtes à se mouler ...
    ... dans le tissu imbibé. Les fraises ici et les framboises là, ou les dattes ailleurs, n’attendaient que l’opportunité d’exposer leurs turgescences. Dois-je avouer que j’ai aidé les unes et les autres dans cette concurrence ?
    
    Sans parler de la diversité de teintes des pubis qu’il laissait deviner par transparence, le lin blanc humide m’offrait aussi côté pile un parfait assortiment de fesses et de sillons. Au fur et à mesure de son imprégnation, il collait si étroitement aux culs qu’il couvrait qu’il les exhibait mieux que s’ils eussent été nus. La toile qui se tendait sur les plus gros hémisphères ou qui s’incrustait sournoisement dans la césure fendant les moins opulents, révélait de chacun la moindre imperfection. Ce dont, à la vérité, ni dame ni demoiselle ne se préoccupait.
    
    Malgré le plaisant spectacle que j’orchestrais, je ruminais toujours de sombres sentiments. La nudité de mes compagnes allant en chœur pavoiser l’étendage de leurs vêtures rincées, non plus que la brochette de leurs popotins se tortillant en ligne, ne les ont chassés. Bien au contraire, leur insistance ensuite à réclamer la primeur d’un nettoyage intime de chatte a ravivé ma gêne de conserver la mienne souillée. Je confesse m’être vengée en augmentant la pression du jet, sans autre succès d’ailleurs que de les exciter davantage.
    
    Ah certes, j’ai pu détailler à loisir toutes leurs différences question foufoune ! Et certaines ne se sont pas privées de laisser échapper leur pipi en douce, comptant ...
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