Douches, toilettes, et plus si…
Datte: 12/04/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
fist,
fdanus,
uro,
lesbos,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... clitoris est en feu et mon vagin dégorge.
— Dites, Colette… Aiiie !
La claque était plus vive, le cri justifié, effets d’une cravache beaucoup moins amicale. J’ouvre les yeux, curieuse. Marie a pâli et s’éclaircit la voix.
— Euh… Dites, Madame Col… Aie ! Aie !
— Je tolère les erreurs une fois, pas deux ! Réfléchis avant de parler, l’avertit Colette.
Nous nous regardons et nous nous comprenons. Marie cherche et sa figure me fait pitié. Elle est au bord des larmes, haletante. J’en oublierais la sauvagerie dont elle m’a comblée.Péché de novice, me dis-je. Sa poitrine se soulève par saccades, faisant trembler ses seins et vibrer les fraises de ses tétons tendus. Tendus et gonflés ! La gamine prend plaisir à la situation… J’imagine sa craquette mouillée et ses sens en folie, ma compassion s’envole. D’ailleurs son regard s’illumine.
— Maîtresse Colette, sa… Aie !
— « Maîtresse » suffit, énonce benoîtement Colette en posant sa cravache.
— Maîtresse, reprend docilement Marie, sa moule est toujours inondée. J’ai beau frotter, il y en a toujours. Que dois-je faire… Maîtresse ?
— Il faut aller à la source, ma belle. Tout au fond !
—Hein ?
— Andréa, ma chérie, tu veux bien lui donner un autre gant, sec ? Celui-ci est trop humide.
— NOOOON !
Je n’ai pu me retenir de glapir. Je viens de comprendre ce que Colette entend réellement par « tout au fond » et cette pensée m’effraie. Je renouvelle mon refus angoissé à pleine gorge.
— Non, non ! Oh non ! Non !
On ...
... peut se moquer de moi, être fistée me fait vraiment peur. Je n’ai encore jamais connu ça. Ce doit être une terrible épreuve, même au sommet de l’excitation, même excitée comme je le suis. Mais c’est facile de l’éviter, me souffle la petite voix intérieure.Tu n’as qu’à dire le mot. Pourquoi ne dis-tu pas diotima au lieu de dire non ? Tiens donc, c’est vrai, pourquoi ? Parce que, insidieusement, mon mauvais ange murmure en même temps que je pourrais essayer, que j’ai déjà imaginé la chose… Je ne l’aurais jamais demandée, mais puisque l’on m’y oblige mon hypocrisie m’absout.
Je me contente de penser en bouclenon, non, en regardant sans voix ni illusion les mouvements qui se rapprochent de moi. Andréa apporte un nouveau gant, Janine serre devant elle Anaïs, Martine enlace Bénédicte, et Colette parle à l’oreille de Marie qui opine.
— Oui Maîtresse, j’ai compris, assure celle-ci avant de m’ordonner : tourne-toi ! Garde les jambes écartées et penche-toi ! Mets les mains sur le bord et ne bouge plus.
J’obéis. Eh oui ! Je me courbe, je présente mon cul, j’attrape le bord du tub… Je ne vois plus rien de ce qu’il se passe derrière moi. Je tremble, mes genoux flageolent.
— Elle est trop pusillanime, Marie n’arrivera à rien comme ça, regrette Colette. Il faut qu’on la lui tienne.
Quatre exclamations empressées, cinq peut-être, répondent à son appel. Plusieurs mains me saisissent cuisses et mollets, deux me prennent les bras, mon front se niche dans une poitrine ferme. Je ...