Douches, toilettes, et plus si…
Datte: 12/04/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
fist,
fdanus,
uro,
lesbos,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... cantonade. Cette vicieuse se fait bander le clito, elle adore ça, la cochonne ! Anaïs, ma puce, tu ne l’avais pas vu aussi gros, l’autre fois, hein ? Et vous, mes chéries, qu’en pensez-vous ? Elle nous a caché ça, hier, n’est-ce pas ?
Mais non ! Il n’est pas si gros, mon clito ! Juste atrocement enflé par le traitement qu’on m’oblige à lui infliger après ce qu’a déjà souffert ma chatte… et par l’excitation que j’éprouve à l’exhiber ainsi ! J’aimerais le leur crier, leur affirmer qu’il a au mieux la taille d’un haricot – d’un petit haricot – et prendre Marie à témoin. La volubilité blagueuse de Colette me réduit au silence. Elle fait l’article tel un maquignon proposant aux chalands de constater par eux-mêmes la qualité de la bête.
Si elle doit gentiment insister pour qu'Anaïs honore son invitation, ses amies ne se font pas prier pour y répondre. Elles font mieux, d’ailleurs : elles testent la fermeté de la tumescence et la sensibilité du bétail exposé. Chacune s’emploie à les vérifier, plutôt deux fois qu’une. À chaque pression un terrible élancement me traverse, accompagné, hélas, d’un renouveau d’excitation. Mes cris enchantent mes tourmenteuses et ma production de cyprine les incite à prolonger l’expérience. Bénédicte, surtout, témoigne d’un intérêt tout particulier pour mon pauvre clitoris.
— On dirait que tu l’apprécies, ma grande, reconnaît Colette. Qu’en dis-tu ? Il ne te donne pas envie de le décorer d’une belle grosse pince ?
— Pas encore. Il est trop sale, ...
... rit sa complice en portant ses doigts à son nez.
La suggestion m’angoisse, la réponse me vexe. Ce n’est pas vrai ! Il est propre, mon bouton torturé ! Mais à quoi bon protester, tout cela n’est que prétexte à souffrance. Je le sais, je l’acceptais d’avance. Je ferme les yeux, soumise et passive, partagée entre crainte et désir.
— Tu as raison, Béné, entends-je. Marie n’a pas terminé son travail. Allez, ma belle, achève ce que tu as commencé ! Nettoie vite ce clito répugnant.
J’entends et je ne veux pas voir. À nouveau, le mot magique me vient à l’esprit. À nouveau, je le repousse. Mes mains n’ont pas quitté mon sexe écartelé. Je me fige et je me concentre.
Le premier attouchement est étrangement doux, presque salutaire. Un frisson agréable me parcourt et m’étonne. Ce n’est pas ce qu’il m’était promis. La suite me rassure – si j’ose dire – par le bruit mat qui me vient aux oreilles, le son d’une cravache cinglant légèrement une fesse. Le ton bougon de Colette confirme mon intuition.
— Marie… Je te l’ai déjà dit : tu n’es pas là pour caresser !
La réprimande porte ses fruits. Les doigts de Marie se mêlent aux miens, par précaution sans doute, et le gant, cette fois, s’attaque franchement à l’objet de sa traque. Mon bouton réagit à sa brutale prise. La douleur me transperce, mon visage se crispe. Le crin entoure sa proie fragile et frotte. Marie s’affaire à sa tâche. Mes plaintes montent au rythme des frictions qui s’accélèrent. Lorsqu’elles cessent enfin, mon ...