1. Un orage, un déjeuner et un départ


    Datte: 09/04/2024, Catégories: ff, fff, frousses, groscul, poilu(e)s, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Oral piercing, journal, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... secrétaire.
    
    — J’adore tes tétons, ils durcissent à une vitesse étonnante.
    — Tu leur appliques le traitement adapté.
    — On va chez Paula vers midi. Tu veux un café ?
    
    Anna était étonnante et donc attachante. Elle m’annonçait son départ en me caressant les seins ! Le sujet semblait clos. Elle partit faire le café. Je me demandai si je regretterais plus la secrétaire ou la partenaire de jeux érotiques.
    
    J’en conclus évidemment que ce serait les deux. Nous avons pris le café en discutant de tout et de rien comme deux copines qui se connaissent depuis longtemps et qui se reverraient le lendemain. L’heure avançant, je suis allée faire mon sac pour ne pas perdre de temps. Dans la salle de bain, je rangeai maquillage et brosse à dents dans mon petit Vanity. Sur une tablette, il y avait le plug, le cadeau d’Anna… J’étais indécise : le prendre ou ne pas le prendre ? Finalement, je l’enveloppai dans un Kleenex et le planquai au fond du Vanity. Le prendre n’impliquait pas forcément que je m’en serve, ce qui me fit sourire, et puis un cadeau, ça ne s’oublie pas ! J’en étais là de mes réflexions quand elle me rejoignit au moment où j’enfilais mon pantalon.
    
    — Mets ta robe bleue, elle te va bien !
    
    Je cédai à cette demande bien que je savais être plus à l’aise dans le train en pantalon qu’en robe. Anna opta pour une espèce de débardeur assez lâche avec une large échancrure latérale qui laissait voir sans difficulté sa poitrine dès qu’elle se penchait. Elle passa aussi un ...
    ... short. Je n’eus pas le courage de la dissuader de ce choix qui ne me semblait pas adapté à la morphologie de ses cuisses. D’un seul coup, il me vint à l’esprit :
    
    — On n’a rien pour Paula !
    — C’est pas grave, j’y vais souvent comme ça.
    
    Je n’étais pas une habituée ni même une connaissance de Paula et je ne concevais pas d’aller chez quelqu’un sans rien apporter. Nous nous précipitâmes chez le fleuriste. Je choisis un beau pied d’agapanthe avec deux magnifiques fleurs bleues. Anna approuva ce choix.
    
    — Je n’en ai pas vu dans son jardin et en plus le bleu est parfaitement accordé à celui de ta robe.
    
    Je minaudai un peu :
    
    — Rien n’est laissé au hasard !
    
    Finalement, nous arrivâmes chez Paula quasiment à l’heure. Il y avait un terre-plein en face du portail. Nous n’étions pas descendues que celui-ci s’ouvrait.
    
    — Tu vois, il me connaît.
    
    Une femme brune, les cheveux au carré, était venue nous accueillir. Ce n’était pas la blonde dont j’avais le souvenir. Anna fit les présentations en utilisant sa formule préférée.
    
    — Maud : ma cheffe. Paula : la reine du polar.
    
    Paula détendit l’atmosphère en me prenant une main et en me déposant une bise légère sur la joue.
    
    — Alors bonjour, Cheffe.
    
    Le portail se referma et elle nous montra le chemin. La maison était superbe, de plain-pied, une longère au toit de tuiles canal décolorées par le soleil. De grandes baies vitrées s’ouvraient sur la terrasse un peu comme chez Anna, mais beaucoup plus grandes. Je me surpris à ...
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