1. Un orage, un déjeuner et un départ


    Datte: 09/04/2024, Catégories: ff, fff, frousses, groscul, poilu(e)s, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Oral piercing, journal, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... réverbère qui nous donnait ce ton jaunasse entre deux éclairs : plus d’électricité.
    
    Je connaissais cependant suffisamment la maison pour tenter une sortie dans le noir complet, mais j’étais aidée par les flashs intenses et fréquents qui illuminaient la maison.
    
    Je détachai sa main de mon sein et je la pris doucement
    
    — Viens, on va boire quelque chose.
    
    Je sentis une résistance, mais je tirai doucement et elle se leva tout en écrabouillant mes doigts de peur de me lâcher. Je la tenais d’une main et de l’autre je la poussais en avant en appuyant sur ses petites fesses. Dans cette curieuse configuration, nous avions atteint la cuisine. Il n’y avait effectivement plus de courant et, quand j’ouvris le frigo, je dus attendre l’éclair suivant pour retrouver la bouteille de jus d’orange. Dans la cuisine, le spectacle donné par l’orage était encore plus impressionnant, les larges fenêtres n’ayant pas de stores. C’était comme un énorme feu d’artifice monochrome. Nous étions entourées de flashes, mais les grondements qui les accompagnaient s’éloignaient progressivement. La tourmente s’en allait peu à peu finir sa vie sur la mer. Chloé n’avait toujours pas lâché ma main, mais je sentais l’étreinte se desserrer. La pluie diminua également d’intensité et le roulement de tambour qui provenait du toit s’affaiblit pour disparaître. La température avait baissé brutalement et je la sentis frissonner. Je la pris dans mes bras et frottai son dos. Plus petite que moi, elle se mit sur ...
    ... la pointe des pieds pour se caler sur mon épaule.
    
    Sa peau était douce, parfaitement lisse, sans la moindre imperfection. Mes mains descendirent un peu plus bas et se saisirent de ses petites fesses, rondes, élastiques, fermes sans être dures. Je la sentis se grandir encore un peu comme si elle voulait faciliter l’accès à son derrière. Dans ce mouvement, les pointes de ses seins vinrent directement au contact des miennes. J’avais l’impression qu’elle se collait de plus en plus contre moi. Elle m’enserra avec ses bras et ses mains descendirent sur mes fesses. Elle se mit à les malaxer, à pétrir ma chair abondante et un peu molle. Elle se reposa sur ses pieds et les quelques centimètres perdus lui permirent d’être encore plus précise dans son tripotage. Elle passa un genou entre mes jambes sans qu’elle rencontre de résistance. Son sexe était plaqué contre ma cuisse gauche. J’appréciais le frottement de sa touffe contre ma peau. Comme elle accentua sa pression, une douce sensation d’humidité, puis rapidement de coulure témoigna de son excitation et de l’abondance de sa cyprine. Je ne l’avais pas encore tenue si serrée dans mes bras. Elle me semblait encore plus fragile, plus jeune. Elle continua à tripoter plutôt qu’à caresser mes fesses et elle se saisit d’un de mes mamelons qu’elle goba littéralement entre ses lèvres et qu’elle mordilla presque jusqu’à la douleur. Elle s’attaqua à l’autre téton pour ne pas faire de jaloux.
    
    Jusque-là, j’étais restée assez passive, mais la ...
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