1. Un orage, un déjeuner et un départ


    Datte: 09/04/2024, Catégories: ff, fff, frousses, groscul, poilu(e)s, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Oral piercing, journal, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... stimulation de mes seins me fit prendre l’initiative avec la montée d’un irrépressible désir. J’avais envie de jouir et surtout de la faire jouir tellement je sentais son besoin de plaisir.
    
    Je la fis asseoir sur la table et reliai complètement ses jambes, sa chatte et son anus complètement offerts. En fait, je n’avais pas encore goûté à sa petite chatte. Elle avait un parfum assez fort, une odeur de sexe de femme difficile à décrire, sur lequel se rajoutait une odeur marquée de pipi sans doute retenue par les poils, un véritable délice. Je léchai les lèvres gonflées et rougies par le désir. Le vagin était béant, un abondant liquide blanchâtre s’en écoulait, je m’en délectai. Je descendis sur cette partie si délicate et souvent si sensible du périnée. Je percevais ses soubresauts et je voyais les contractions de son sexe et de son anus. Je léchai le petit trou plissé au goût un peu poivré et doucereux, à cet instant, la lumière est revenue ! Machinalement, j’avais dû manipuler l’interrupteur en rentrant dans la cuisine. Nous étions en pleine lumière, la scène perdit beaucoup de son romantisme, mais en quelques coups de langue je déclenchai la jouissance de Chloé. Je me caressai en frottant vigoureusement mon sexe pour me calmer, le plaisir arriva vite, mais je le trouvai sans grand intérêt ni apaisement réel.
    
    Après avoir éteint la lumière, nous avons regardé quelques instants les dernières illuminations qui, au loin, continuaient à embraser le ciel et l’océan, puis ...
    ... nous sommes retournées dans la chambre, Anna dormait. Il était exactement trois heures quarante sur l’horloge du décodeur. De temps à autre, un roulement de tonnerre, sourd et lointain, nous rappelait que nous venions d’échapper à la fin du monde. Chloé est venue se coller contre moi et je crois que nous nous sommes endormies instantanément comme des masses.
    
    Nous ne fûmes pas réveillées par la lumière du jour, mais par le portable de Chloé qu’elle avait réglé afin d’être à l’heure pour l’ouverture du magasin. Anna retira ses boules Quies, et nous demanda si nous avions bien dormi malgré l’orage. Notre escapade dans la cuisine semblait lui avoir totalement échappé. Anna s’étira les bras tendus à l’extrême au-dessus de la tête. Vue de profil, j’avais l’impression que ses seins avaient complètement disparu, seuls restaient les gros tétons foncés et érigés. Elle donna une claque sur les fesses de Chloé :
    
    — Allez debout, au boulot !
    
    Anna remonta les volets électriques, la lumière du matin était magnifique. Le ciel, d’un bleu parfait, était dépourvu de toute nébulosité. L’atmosphère nettoyée par la pluie et le vent était d’une transparence extraordinaire permettant une vue parfaitement nette du haut du phare de Cordouan à condition, bien sûr, de se hisser sur la pointe des pieds. Elles se levèrent d’un bond et disparurent en direction des toilettes et de la salle de bain. Je me dépliai aussi pour préparer du café. Dans la cuisine, je constatai quelques dégâts sur la terrasse ...
«1234...9»