La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1620)
Datte: 08/04/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... éjaculer avant lui. Comme une chienne, je m’activais sur cette queue, me levais, m’empalais, me relevais et renouvelais mes assauts inlassablement, je me donnais sans retenue, jusqu’à cet instant où Rémy m’attrapait à bras le corps, me faisant coucher sur lui, me cramponnant fermement, attirant ma tête contre la sienne, maintenant mon visage dans sa barbe trempée de sueur. Par des petits mouvements de bassin, sa volumineuse queue s’enfonçant plus doucement en moi. Alors qu’il me tenait parfaitement immobilisé, je l’entendais dire :
- Vas-y Markus, le cul de cette chienne est bien dilaté, c’est le bon moment…
Evidemment je ne comprenais pas, je sentais juste Markus s’installer sur le matelas derrière moi, entre les cuisses ouvertes de Rémy, puis quelques secondes après, je percevais la chaleur de son gland brulant se poser sur mes fesses, puis glisser dans ma raie, alors que mon cul était toujours assailli par la verge de Rémy. Markus se penchait, écartait mes fesses à deux mains, puis cherchait à enfoncer son sexe dur et tendu dans mon antre déjà comblé. J’hurlais en ravalant mes larmes ! Une douleur atroce, Markus venait ...
... de me pénétrer en un seul coup, se frayant un chemin entre mes parois rectales, mes sphincters et la bite de Rémy, tout en râlant. Tous deux m’enculaient en même temps jusqu’au bout, jusqu’à ce que leurs bourses se cognent, ravageant mon cul, m’écartelant mon anus maltraité, embrasant mon ventre. Une double sodomie douloureuse au départ qui au fil du temps devenait délicieuse. Ils me baisaient en rythme, associant et coordonnant leur mouvement de hanches, allant et revenant ensemble dans mon fion totalement dilaté. Tous deux colonisaient mon être, chacun de leurs mouvements étaient comme une tornade dans mon âme. Entre leurs mains et leurs queues, je n’étais plus que déprave, honte, qu’une salope lamentable, qu’une machine à baiser, qu’un simple trou doublement conquis, possédé… Presque au même moment, ils déversaient leur sperme en soupirant d’extase, alors que je me laissais emporter par leur bestialité excessive. Une déferlante de bonheur irradiait mon ventre, mon cul, ma nouille… Je poussais un gémissement plus aigu que les autres, quand ma nouille libérait mon foutre chaud entre mon abdomen et celui de Rémy...
(A suivre…)