1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1620)


    Datte: 08/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... Combien de temps allais-je devoir rester ainsi ? Je ne pouvais pas m’allonger, mes pieds buttaient contre d’autres barreaux au fond de ce petit espace exigu. Je m’installais, tant bien que mal en position fœtale en espérant pouvoir me reposer ! Sauf qu’à peine venais-je de trouver une position à peu près confortable, derrière moi, au niveau de mes pieds, une lumière entrait dans ce réduit étriqué. Je comprenais alors que l’on pouvait entrer dans ce local restreint par deux entrées distinctes.
    
    - A quatre pattes la pute, vient coller ton cul contre les barreaux derrière toi.
    
    Sitôt en place comme exigé, Markus attrapait mes couilles toujours lestées… Sans vraiment comprendre ce qu’il faisait, je sentais qu’il passait un lien au travers d’un anneau fixé sur l’un des ballstrecher, cordage qu’il nouait ensuite sur le plus loin barreau horizontal de la porte métallique.
    
    - Voilà, c’est bien, tu vas pouvoir te recoucher si tu le souhaites, sache que moi, je n’y vois aucun inconvénient à ce que tu te reposes un peu. D’ailleurs je t’invite à le faire, parce que bientôt Rémy et Adrien vont venir tester ton cul et ta bouche de lope. Je veux que tu sois en forme pour accueillir leurs grosses bites bien épaisses…. Allez allonge-toi, la chienne en chaleur…
    
    Sauf que m’allonger était simplement impossible… Le cordage était trop court, beaucoup trop court. Mes genoux touchaient à peine le sol, je devais rester le cul en l’air, si je voulais garder mes burnes. Markus riait à gorge ...
    ... déployée… Cet homme incarnait la perversité absolue… Il refermait la porte en me disant :
    
    - Aller, bonne sieste, ma pute… Travaille bien tes petites boules de sale cabot et ne t’avise surtout pas à te branler.
    
    Combien de temps restais-je ainsi, une heure, deux, plus encore… un temps interminable, un temps éprouvant, odieux et exténuant, mais aussi un temps délicieux et enivrant. Là, juste tenu par les couilles, le corps morcelé, reconstruit en une forme soumise et dévorante, la nouille et le cul en feu, j’étais simplement à ma place, j’étais celui que je souhaitais tellement être !… Au bout d’un temps certain, j’étais détaché, attrapé par les burnes et extirpé manu militari de ce réduit. En silence, cet homme ventru, poilu, barbu me faisait agenouiller sur le sol, juste devant lui, son gros gland luisant frappant contre mes lèvres. J’étais encore dans mes pensées lubriques, les paupières semi closes, pour tamiser cette lumière aveuglante. Sans qu’aucun ordre me soit donné, je prenais en bouche ce sexe humide, puant la transpiration et l’urine et l’enfonçait jusque dans ma gorge. L’homme attrapait ma nuque à deux mains, pour mieux enfoncer son membre au plus profond de ma bouche. Je fermais les yeux, me laissant pénétrer, enfouissant mon visage dans ses poils pubiens odorants. Peu après, il se dégageait de ma cavité buccale, attrapait son sexe et le soulevait, me présentant ses couilles près de ma bouche. Sans réfléchir, je les léchais alors qu’il marmonnait :
    
    - Ouais, ...
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