1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1620)


    Datte: 08/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1619) -
    
    Chapitre 39 : Une double pénétration anale –
    
    … il jouissait en plusieurs spasmes successifs, lâchait des râles longs et rauques, éjaculait m’envoyant à cinq ou six reprises sa semence brulante sur mon visage et ma chevelure… Markus tenait fermement mon collier, sa main crochetée sous mon menton, ses yeux mi-clos et vindicatifs, braqués dans les miens, ses joues empourprées. Il me contrôlait, exerçait sa pleine et entière domination en me tenant ainsi, mon visage à quelques centimètres du sien. J’étais là, incapable d’analyser, de penser, de réagir, mon cœur était en miette, je ne pigeais plus rien parce qu’anéanti. Mais la réalité est que je n’avais rien à piger, rien à comprendre, juste à obéir, juste à être utilisé, juste à servir de vide-couilles, juste à vivre ma condition d’esclave sexuel. Markus me contemplait avec un sourire pervers. Il posait son autre main sur mon épaule et la broyait entre ses doigts. Je grimaçais et gémissais. Il me rabaissait encore, comme si je n’avais pas été suffisamment humilié.
    
    - Tu pues le foutre, la catin…, ça te plait d’avoir mon foutre sur ta petite gueule de pute ?, m’interrogeait-il.
    
    - Oui Monsieur, j’aime sentir votre semence sur mon visage, Monsieur.
    
    - T’inquiète la pute, je vais te parfumer ou te faire parfumer très régulièrement… Je le sais, les chiennes de ton espèce, ont besoin de renifler du ...
    ... foutre.
    
    Markus ricanait en continuant à malaxer terriblement mon épaule gauche. Je me sentais inconsistant, lascif, dans l’abandon total de toute forme de résistance, comme si je flottais dans une sorte de plaisir éthéré, mon corps nu, servile, parcouru d’endorphines. Et ma nouille délicieusement chaude et raide, battant sous mon ventre, mes deux mains posées sur le sol crasseux, me donnant des airs de véritable clébard en chaleur ! A cet instant, Markus saisissait le lobe de mon oreille entre ses lèvres, et le mordillait doucement, le tirant un peu vers lui, avant de faire passer sa langue tout le long du pavillon et de le reprendre en bouche.
    
    - Aller, viens la chienne, à la niche, me susurrait-il dans le creux de l’oreille.
    
    Dans ce même local, qui devait servir autrefois de vestiaire, entre la rangée d’urinoirs et deux WC à la turque même pas cloisonnés, Markus soulevait une vieille trappe en bois que je n’avais pas repérée, tant elle était camouflée, à même le mur crasseux. Derrière celle-ci, se dissimulait un lieu clos, une forme de tunnel, entièrement bétonné, d’une hauteur et d’une largeur de quatre-vingts centimètres environ, avec devant une lourde porte aux barreaux d’acier. En actionnant une télécommande, la porte se soulevait doucement en grinçant.
    
    - Entre là-dedans salope, ton cul en premier.
    
    La porte se rabaissait lentement sitôt après mon passage, Markus refermais la trappe en bois, j’étais alors plongé dans l’obscurité totale et le silence absolu. ...
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