1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1620)


    Datte: 08/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... c’est bien, bouffe-moi les couilles salope, sale bâtard, pauvre merde… bouffe bien, je sais que tu aimes ça !
    
    Je ne lui répondais rien, je n’avais rien à répondre, j’obéissais simplement, ouvrant grand la bouche pour y recevoir la masse pesante et odorante de ses testicules, léchant cette peau tendre, poilue et fripée au goût infâme. Je m’appliquais, posant ma langue bien à plat sous ce scrotum, puis la faisait glisser et remonter jusqu’à la racine de ce volumineux sexe tellement imposant. Je recommençais encore et toujours, jusqu’à ces coups de cravache terribles sur mon cul me faisant geindre. Markus était à la manœuvre, c’était lui qui me cinglait le cul douloureusement et sans concession, sans me ménager, on aurait cru qu’il se lâchait, qu’il se défoulait sur mon postérieur...
    
    - Comment oses-tu te présenter ainsi face à Monsieur Rémy… Ce n’est pas parce qu’on s’occupe de ta bouche que tu ne dois pas cambrer ton cul de salope. Cambre tes reins, écarte toi… la chienne ! Montre à Monsieur Rémy que tu n’es qu’une pute désireuse de te faire mettre et remplir par tous tes trous ! C’est ainsi que tu dois être, aguicheur, excitant, provoquant, sachant émoustiller à chaque instant, ceux te dominant… Et je devrais même parler de toi au féminin, comme la bonne putain que tu es ! Alors je vais redire que tu dois être, aguicheuse, excitante, provoquante, salope, traînée, catin, chienne….
    
    Alors que j’obéissais subissant toutes ses humiliations, verbales, comme physiques, je ...
    ... sentais la lourde masse de Monsieur Rémy se pencher par-dessus mon dos. Et pendant que je lui léchais et suçais son gland violacé, il attrapait mon cul et le malaxait jusqu’à me faire douloureusement mal. Plus il me pétrissait les fesses, plus sa grosse bite semblait prendre du volume. Elle atteignait son apogée lorsqu’il glissait un de ses doigts entre mes fesses, le pressant contre mon trou. La bouche pleine, toute entière dédiée à son plaisir, je laissais ce majeur se planter dans mon cul, répandant des flots de chaleur intense dans tout mon corps servile et si réceptif à ce genre de traitement. Monsieur Rémy insérait un second doigt, m’arrachant un cri de douleur.
    
    - Ta gueule, la putain, laisse-toi doigter, je ne veux pas t’entendre, je veux te voir seulement docile, obéissante et donnant du plaisir !, hurlait Markus maintenant accroupi près de moi.
    
    Alors en signe de soumission, je m’empressais de sucer Monsieur Rémy de plus en plus vigoureusement, par de grands allers-retours de ma bouche autour de son long et épais sexe, au rythme des mouvements vibratoires de ses doigts dans mon cul. Je ressentais de suite un torrent de plaisirs lubriques mélangés de dégout, de sueur, d’humiliations. Monsieur Rémy se redressait et me saisissait fermement par la nuque, avant de m’envoyer rouler sur un matelas posé sur le sol. Il soufflait comme un animal en rut, m’attrapait par les hanches, au point que ses doigts me martyrisaient douloureusement la chair, s’accroupissait derrière ...