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Un travail bien rémunéré
Datte: 05/04/2024, Catégories: Première fois Auteur: Le licencieux, Source: Hds
... Tu aimes le champagne ? — Heu… Oui. Elle disparut dans la maison et revint en brandissant une bouteille de Don Pérignon. — Ça fait au moins trois ans qu’un homme ne m’avait pas fait ça. Je crois que ça s’arrose. Tu la débouches ? Je saisis la bouteille puis je remplis les verres qui étaient sur la table. Je lui en tendis un et nous trinquâmes. Je m’étonnai qu’elle ne but pas mais j’appréciai la délicatesse du breuvage : — Il est bon. Elle me regarda avec un sourire mutin avant de répondre : — Moi, je préfère boire à la paille. Je compris ce qu’elle voulait dire lorsqu’elle trempa mon gland dans son verre et qu’elle le lécha. Il ne me fallut pas plus de deux secondes pour bander comme un taureau. Elle orienta plusieurs fois son verre afin de retremper ma queue et d’y déguster le nectar puis elle me regarda dans les yeux, posa son verre au sol et goba mon gland. Je frémis sous la sensation délicieuse. Elle me pompa un moment puis lécha mes bourses avant de saisir la bouteille par le col. Elle s’allongea sur le dos, versa une grande rasade sur sa chatte et ordonna : — Lèche ! Je commençai par laper le liquide répandu sur son pubis puis elle poussa ma tête vers le bas et je goutai une chatte pour la première fois. Je m’étonnai de trouver d’instinct, les bons mouvements de ma langue. Alexandrine poussa plusieurs cris aigus avant de me demander de mettre mes fesses au-dessus de son visage. J’avais vu quelques vidéos expliquant cette ...
... position alors je compris aussitôt et plaçai ma verge au dessus de sa bouche. Elle la prit aussitôt entre ses lèvres. J’avais du mal à me concentrer sur sa chatte tant Alexandrine me procurait de sensations puissantes et inédites. J’y parvins toutefois et je perçus bientôt ses gémissements étouffés qui la poussèrent à me sucer avec davantage de gourmandise. Je ne me régalai pas moins de la douceur de sa vulve, et lorsqu’elle souleva légèrement le bassin je plaçai les mains sous ses fesses et augmentai la pression de ma bouche. Puis, terriblement excité par les sensations que me procuraient sa fellation, j’activai les mouvements de ma langue. Soudain Alexandrine lâcha ma queue pour libérer un cri aigu de jouissance puis elle se remit à me pomper vigoureusement et je déchargeai en grognant. Repus, nous ne fîmes aucun commentaire et je la suivis dans l’eau fraiche de la piscine. Une heure plus tard, je déclarai qu’il commençait à se faire tard et que je devais rentrer. — Tu as bien cinq minutes, me répondit-elle. Je souris, car en fait, pressentant qu’elle avait encore des choses à me faire découvrir, je n’avais nullement l’envie de partir. — J’aimerais bien que tu te masturbes devant moi, lâcha-t-elle soudain. Bien que je fusse déstabilisé par sa demande, je me mis aussitôt à bander. Elle tendis la main pour me caresser les fesses. — S’il te plait, minauda-t-elle. Je n’eus pas le coeur de la faire languir davantage et je commençai à m’astiquer en ...