1. Un travail bien rémunéré


    Datte: 05/04/2024, Catégories: Première fois Auteur: Le licencieux, Source: Hds

    ... moment puis elle se leva et se plaça derrière ma chaise. Je sentis peu après ses mains sur mes épaules. Elles descendirent lentement sur mon torse puis glissèrent jusqu’à mon ventre.
    
    — On va y aller doucement, murmura-t-elle.
    
    Que voulait-elle dire ?
    
    Elle disparut dans la maison et en ressortit peu après avec une écharpe qu’elle noua autour de mes yeux.
    
    — Ça va t’aider à te concentrer sur ce que tu ressens. Lève-toi !
    
    Elle prit ma place sur le siège puis me caressa le dos très lentement.
    
    Je frissonnai lorsque je sentis ses mains courir sur mes fesses.
    
    — Concentre-toi sur tes sensations, murmura-t-elle.
    
    Ce conseil était inutile car je fus envahi par un tsunami de frissons et je sentis ma verge durcir encore. Et je n’étais pas au bout de ma découverte.
    
    Elle tapa sur ma cuisse droite.
    
    — Ecarte !
    
    Je ne savais pas pourquoi elle me demandait ça, mais j’étais dans un tel état d’excitation que j’écartai les jambes.
    
    Elle remonta sur la face interne des cuisses puis je sentis bientôt ses doigts emprisonner mes bourses. Elle les soupesa, les caressa, les palpa puis son autre main remonta le long de mon pieu de chair et je sursautai.
    
    — Chut… Tout va bien, murmura-t-elle.
    
    Je sentis mon prépuce glisser sur mon gland.
    
    — Retourne-toi !
    
    Je ne résistai au mouvement qu’elle imprima à mon corps.
    
    Elle garda mes testicules dans la main puis de l’autre me masturba lentement.
    
    J’éjaculai en moins de cinq minutes.
    
    — Ça n’est pas grave, me ...
    ... rassura-t-elle, avec le temps tu apprendras à te retenir. Ne t’inquiète pas.
    
    Je n’osai plus bouger. J’avais éjaculé beaucoup plus rapidement que lorsque je le faisais seul. Mais c’était meilleur. Bien meilleur !
    
    Elle me retira le bandeau et se rassit sur sa chaise.
    
    Elle était à présent en sous vêtements.
    
    — Je suppose que tu n’as jamais touché une femme non plus, lança-t-elle.
    
    Je fis non de la tête et elle continua à me torturer :
    
    — Et en as-tu déjà vu une nue ? Je veux dire en chair et en os ?
    
    Je bafouillais :
    
    — Heu… non, non, madame.
    
    Elle sourit puis se leva.
    
    Je la vis passer les mains dans son dos puis quelques secondes plus tard, son soutien gorge glissa le long de ses bras, libérant deux seins ronds et laiteux pourvus d’une large aréole.
    
    Elle ne me quitta pas des yeux puis d’un mouvement lent dévoila la fine toison brune de son pubis.
    
    Lorsque sa culotte toucha le sol, j’avais des spasmes dans la verge.
    
    Alexandrine me laissa l’admirer un moment puis elle se retourna, écarta les jambes et se pencha en avant. Je frissonnai en posant les yeux sur sa vulve luisante. Elle resta ainsi cinq bonnes minutes puis se redressa et lança :
    
    — Tu te souviens comment j’ai fait tout à l’heure ?
    
    — Oui madame.
    
    — Alors je veux que tu fasses la même chose et que tu me découvres avec tes yeux et tes doigts.
    
    J’hésitai un instant puis je levai les mains vers sa poitrine. Je vis aussitôt ses tétons se dresser. Je fus étonné par la fermeté de ses seins qui ...
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