1. Un travail bien rémunéré


    Datte: 05/04/2024, Catégories: Première fois Auteur: Le licencieux, Source: Hds

    ... sous le sabot d’un cheval. D’ailleurs il n’y a pas de cheval ici. Elle partit d’un rire clair, quelques instants.
    
    Bien sûr, elle avait raison, l’argent ne tombai pas si facilement. Et j’en avais cruellement besoin. Alors je me sentis soudain fléchir et ma main se fit moins ferme sur le manche de ma pioche.
    
    Je grattai encore un peu la terre puis, finalement, je retirai mon pantalon.
    
    Elle ne fit aucun commentaire et j’étais incapable de la regarder.
    
    Elle ne me laissa que peu de répit en ajoutant quelques minutes plus tard :
    
    — Cent euros si vous enlevez le slip.
    
    Ça bien sûr, c’était hors de question. Sans doute aurais-je dû m’enfuir mais j’avais besoin des 300 euros que me rapporterait mon travail. Alors je continuai à bêcher.
    
    — Cent cinquante ! poursuivit-elle.
    
    Mes neurones surchauffaient. Il me suffisait d’ôter mon slip ! Mais non, décidément je ne pouvais pas, même si ces 100 euros m’auraient bien dépanné.
    
    — Deux cent euros si vous le retirez face à moi.
    
    Je devins écarlate mais la calculatrice s’activa : Deux cent euros c’était plus de la moitié de ce que j’allais gagner pour cet travail.
    
    Deux cent euros en quelques secondes… pour me montrer nu à cette femme ! Bien sûr personne n’en saurait rien, mais quand même.
    
    — Mon offre expire dans cinq minutes, précisa la femme.
    
    J’avais beau me dire que cela ne prêterait pas à conséquence, je ne parvenais pas à sauter le pas.
    
    — Deux minutes…
    
    Plus que deux minutes pour empocher les deux cent ...
    ... euros, mais ma pudeur me retenait toujours.
    
    — Trente seconde… Quinze secondes… Cinq… Quatre… Trois…
    
    Lorsqu’elle arriva à deux secondes, je me retournai d’un bond et retirai précipitamment mon slip.
    
    Elle sourit puis se leva.
    
    — Continuez de travailler dans cette tenue.
    
    J’étais rouge de honte lorsque, quelques minutes plus tard je la vis s’approcher. Elle compta :
    
    — Cinquante… Cent… cent cinquante et Deux cent. Le compte y est. Je les mets dans votre pantalon.
    
    J’attendis impatiemment qu’elle retourne s’asseoir mais elle s’installa face à moi, sur un banc à une dizaine de mètres.
    
    Je peinai à reprendre mon ouvrage tant je sentais le poids de son regard sur mon intimité. Elle voyait ballotter ma verge et mes bourses au rythme de mes coups de pioche. J’étais terriblement gêné mais curieusement la certitude de son regard sur mes attributs masculins fit frémir ma verge qui commença à prendre de la consistance. Je tentai aussitôt de me retourner.
    
    — Non, restez face à moi.
    
    Je tentai alors de concentrer mon esprit sur la terre que je foulais mais il ne me rapporta que l’image du regard de cette femme posé sur ma nudité et mon sexe s’érigea totalement.
    
    Jamais ma timidité n’avait été mise à pareille épreuve.
    
    Je jetai un rapide coup d’oeil. Elle affichait un sourire ravi.
    
    Il se passa alors quelque chose d’étrange lorsque je réalisai que c’était la première femme à me voir nu. Je sentis la chaleur de mon visage se répandre dans tout mon corps et soudain ...
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